@Marignan
Ah, c’est pas de chance, même en abondant si peu que ce soit dans le sens de l’auteur, vous avez manqué votre coup et puisé une référence tout droit sortie de l’éducation nationale.
Or ça ne peut pas être l’EN qui a raison puisque c’est Paul Villach qui détient la vérité.
@P. Villach
Il faut bien dire, M. Villach, que c’est bien l’essentiel du message que vous faites passer, en pourfendant tout contradicteur dès qu’il n’abonde pas complètement dans votre sens.
Marie Drucker a un "plan média", dites-vous. Ma foi, c’est probalement vrai. C’est sans doute vrai pour Rachida Dati, ou pour Zidane, ou encore Claude Bébéar, chacun dans son domaine... Et alors ?
Moi-même, je me suis occupé un certain temps de communication pour des sportifs (eh oui, eux aussi), j’ai donc quelques petites connaissances sur le sujet. Les personnages publics veillent (souvent, pas systématiquement) à leur image publique. Ben oui. Quoi d’étonnant alors à ce qu’ils aient des plans comm’ ?
C’est surtout une simple question de bon sens : on n’est plus au temps où l’on disait "c’est forcément vrai puisque c’est écrit dans le journal". Tout le monde sait ça, alors on ne voit pas trop l’intérêt de disséquer minutieusement comme vous le faites les couvertures de magazines.
Ceci dit, c’est votre droit. Avec cette réserve que de la même façon que Marie Drucker s’expose à la critique (la vôtre en particulier) en posant pour une couverture, vous-même en développant ici ce que vous pensez de cette couverture, vous exposez à la critique. Il serait logique que puisque vous vous autorisez à critiquer Marie Drucker (ou son plan comm’), vous acceptiez d’être critiqué vous-même. (Notez que si vous n’admettez pas d’être critiqué, vous justifiez implicitement les plans comm des célébrités). Mais décidément, vous ne voulez entendre que des approbations élogieuses.
Comme beaucoup, je remarque que vos analyses sont plus que mordantes et franchement orientées dans un sens désobligeant. Vous n’aimez pas Marie Drucker, Rachida Dati, Nicolas Sarkozy ? C’est votre droit.
Mais vous accumulez les insinuations malveillantes et les parti-pris que vous argumentez dans vos analyses que vous voudriez faire croire objectives.
Vous n’aimez pas la Droite au pouvoir. Pourriez-vous alors faire une analyse similaire du plan comm’ de Martine Aubry ? Ou Besancenot ? ou Nicolas Dupont-Aignan, François Bayrou, Arlette Laguiller... bref celui pour qui vous avez de la sympathie.
Vous vous apercevrez que le plan comm’ est à peu près identique, mais que votre vocabulaire sera nettement adouci, curieux hein ?
Chiche ! Faites-en donc l’expérience, et faites-nous en profiter.
Mais de grâce, cesser de vous jeter sur les couvertures de presse des gens que vous n’aimez pas pour écrire ici tout le mal que vous en pensez.
Pas la peine de m’expliquer que je n’ai rien compris, qu’il est important de dénoncer, que l’information n’est pas innocente. Tout ça, je le sais déjà : j’ai pratiqué.
Ce dont il est question, c’est le mépris qui transpire de vos textes, quel qu’en soit le contenu analytique. C’est cela précisément qui commence à devenir fatigant.
Mais je pressens que cette remarque-là ne vous plaira pas plus que les autres
Cordialement