Bonjour l’auteur,
je crois que pas mal de monde l’a compris. Il y a une volonté quasi-mondiale (au niveau des "fournisseurs de contenu") de transformer le modèle d’internet en minitel 2.0.
Le prétexte avancé, c’est de lutter contre le piratage mais le vrai but derrière tout cela, c’est d’organiser l’internet à sens unique : du gestionnaire de droit vers le consommateur final.
C’est la raison pour laquelle les trublions du libre qui veulent des modes de diffusions alternatives ne sont pas invités à donner leur avis : il ne faut surtout pas laisser la possibilité à un consommateur de devenir lui-même fournisseur de contenu, mais l’obliger si toutefois il veut le faire, à passer par l’intermédiaire d’une société gérant les droits.
Pour le dire plus clairement, le but à atteindre et qu’un consommateur ne puisse proposer son contenu (ou un contenu) que par le truchement des YouTube, MySpace ou autre FaceBook, mais qu’il ne puisse pas le faire en dehors de ces circuits ultra fliqués dans lesquels on peut y introduire de la publicité de manière presque illimité.
retirer à l’utilisateur non professionnel le la liberté de mettre à disposition ce qu’il veut, le voilà le vrai propos des politiques "antipirates"