C’est l’exemple type de l’enfant-roi qui peut tout se permettre sans se faire jamais remettre à sa place.
Une remontrance ou une plaisanterie dont il est l’objet prend tout de suite pour lui et ses parents l’allure d’une agression car il se sent vexé.
Comme je l’ai souvent dit, il faudrait re-éduquer ces parents qui voient comme un crime à l’égard de leur rejeton toute remise en cause de son attitude et donc de ce qui semble être de leur éducation.
Le laissez-faire n’est pas une éducation.
Le métier d’enseignant est devenu un métier extrêment risqué. Une plaisanterie coûte maintenant la garde à vue et un passage en correctionnelle avec des chefs d’accusation qui laissent incrédule.
C’est du délire judiciaire, appuyé par des psy irresponsables, qui conforte l’attitude de parents tout aussi irresponsables.
C’est une fable de prétendre que ce gamin a éte "traumatisé". A son âge on sait faire la part entre paroles sérieuses et plaisanteries. Je croirais plus tôt que maintenant, il joue les intéressants ! Il est excité par sa vengance sur un adulte qu’il peut punir.
Depuis des années déjà, la hiérarchie de l’EN livre ses fonctionnaires en pâture aux parents pour ne pas avoir à les affronter. L’instit doit se défendre seul et il est blâmé par ses supérieurs, à cause d’une société malade et déboussolée qui surprotège les enfants au-delà de toute raison.