Commentaire de JL
sur La place des victimes sur la scène pénale
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@ tous, Re post scriptum : en me relisant, li me vient à l’idée la réflexion suivante : il est possible que le tribunal ait prononcé ce non lieu relatif à l’hormone de croissance, précisément "par précaution vis à vis de ce principe d’équivalence en substance."
Si le tribunal qui a relaxé les responsales de ces drames avait tenu le même raisonnement que moi ci-dessus, la jurisprudence aurait imposé d’invalider ce principe crapuleux d’équivalence en substance.
Ceci dit, je fais un peu du hors sujet, mais je dis quand même : on comprend mieux pourquoi la médecine officielle craint tant les médecines parallèles.
Derniers commentaires
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19/01 12:12 - Naja
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19/01 09:48 - Internaute
Article trés intéressant qui explique bien le fonctionnement du système. Vous dites que « le (...)
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18/01 12:00 - Illel Kieser ’l Baz
@auteur, vous pourriez citer l’auteur et l’édition. Quant à l’autorité, (...)
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18/01 11:43 - Frédéric Degroote
Oui, on a aucune légitimité pour tout. C’est pareil pour les banlieues, on ne peut jamais (...)
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18/01 11:26 - Naja
@ L’auteur, « Beaucoup de victimes sont devenues des acteurs médiatiques de leurs (...)
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18/01 08:54 - Frédéric Degroote
Je vous répondrai juste que cette phrase : "Comme je disais plus haut, là où le (...)
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