@marcoB12
La somme des incertitudes ne peut pas conduire à la certitude de la conclusions du rapport. Vous parlez de probabilité. Non, il n’existe pas de probabilité, car elle serait impossible à définir. Il existe un risque, pour parler le langage des assureurs.
Une synthèse de rapport multiples dénature gravement chaque rapport. Prétendre qu’une synthèse de rapports soit pertinente une autre imposture intellectuelle. Ensuite, vous remarquez qu’une majorité de scientifiques sont réchauffistes. Cet argument est inepte pour démontrer la validité d’une thèse scientifique.
Il est plus facile de réfuter les arguments du GIEC que de proposer des théories scientifiques alternatives. La réfutation d’un seul argument du GIEC aurait suffit à infirmer sa thèse. Or il semble que tous les arguments du GIEC soient aujourd’hui réfutés. De plus, les thèses scientifiques proposant des systèmes explicatifs contraires aux thèses réchauffistes semble plus solides.
Cette thèse du GIEC est du pain béni pour tous ceux qui militent pour l’avènement d’un gouvernement mondial. Un gouvernement européen serait une étape importante vers un gouvernement mondial. Les étatistes croient à la sagesse et la vertu des Etats pour apporter l’ordre et le bien-être aux peuples. les politiciens sont naturellement étatistes. La plupart ne peuvent pas contester la validité d’un gouvernement mondial sans contester la validité de l’existence du gouvernement auquel ils participent. C’est, à mon avis, une des raisons majeures de la marche actuelle vers un gouvernement mondial.
Prétendre que les scientifiques contredisant le GIEC seraient aveuglés par des intérêts partisans est absurde. On pourrait tout autant soutenir que les partisan des thèses du GIEC sont aveuglé par les intérêts partisans des militants du mondialisme. Votre argument va contre les scientifiques réchauffistes qui bénéficient de plus gros budgets de l’Etat lorsqu’ils appuient et travaillent sur les thèses réchauffistes.
Une assurance couvre un risque, pas une probabilité. La nuance est essentielle. Or aujourd’hui, nul n’a proposé une théorie acceptable expliquant solidement les causes de variations climatiques sur la planète. Un assureur n’assurerait pas un tel risque individuel, parce qu’il n’aurait pas de client. Nul citoyen n’accepterait de payer pour assurer un tel risque individuel avec son propre argent.