@halman,
je regrette mais celà m’est arrivé également alors que le stop je l’avais marqué contrairement a ce qu’avait affirmé le pandorre cette injustice m’est arrivé il y a plusieurs années 3 ou 4 ans au début ou la maréchaussée avait pour consigne de faire du chiffre , devinez qui à eût raison au tribunal ?
La parole d’un simple quidam contre celle d’un gendarme si vous n’avez pas de témoins !
Ce genre de mésaventure n’est pas aussi rare que l’on veut nous le faire croire ! Des ripoux il y en à aussi dans les forces de l’ordre, je peux vous rappeller les détournements de stupéfiants il n’y a pas si longtemps à Strasbourg un OPJ avec la complicité d’une gréfière.
Sans vouloir jeter l’oprobre sur toute l’institution il y a aussi des personnels qui font bien leur travail mais il faut dire que le niveau en général n’est guère brillant.
Pour ma petite revanche personnelle quelques perles entendues dans cette institution :
Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d’aliènes, il a été conduit à la gendarmerie.
Ses explications étaient si embrouillées que nous avons du le relâcher faute d’avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.
Quand le contrevenant a crie : Espèce de gros con ! dans son dos, le brigadier de service a aussitôt cru se reconnaître et a verbalisé.
L’homme a insiste pour nous présenter son préjudice qui ne mesurait en fait pas plus de dix centimètres...
Si l’appel n’a pas obtenu de réponse, c’est qu’il est parvenu au poste vendredi en fin de matinée alors que le permanent de service venait de partir se coucher comme tous les jours a la même heure.
En nous priant d’accepter ses excuses, l’homme nous affirma que ses injures etaient bien l’expression de sa pensée et que l’incident etait donc clos.
L’homme avait essayé de cacher l’arme dans ses bottes, malheureusement pour lui, il s’agissait d’un fusil dont la longueur dépassait.
Le plaignant, visiblement en état d’ébriete, prétendait s’appeler Jésus et signa le formulaire d’une croix.
Il est à noter que les deux véhicules sont entres en collision l’un avec l’autre exactement le même jour.
L’homme, qui etait aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s’entendre très bien avec elle.
Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.
Nous avons donc pu constater qu’il n’y avait rien a constater.
L’homme nous déclara qu’il avait effectivement frappé son adversaire avec la manivelle mais en faisant bien attention a ne pas lui faire mal.
Si nos gendarmes n’étaient pas intervenus, le viol n’aurait sûrement jamais eu lieu...
Le pendu est mort noyé.