Inutile de s’enfoncer dans différents propos carrément hors sujet... qu’ils soient favorables aux "cornécros" ou à ceux qui préférent et de loin protéger la vie...
En effet, il est question si on reste dans le sujet, de juger pertinent ou non du fait qu’au nom d’une tendance, un gout local établi (ça vient d’étable...) par certains, c’est à dire d’une tradition, un représentant de la république doive s’inféoder ou non... indépendamment de l’intérêt collectif...
La question est donc simple : un député doit-il être porteur des valeurs de la république (res publicae= la chose publique)...ou colporteur des "valeurs" (ou valises ?) de certaines minorités ?
Si on répond que oui, il se trouvera bientot des députés qui en échange de services, pour faire de la pub au café du coin, aux lieux communs qui s’y répétent sans conscience, plus tard, seront larbins de la marque "machin", ou du groupe "truc"... et à terme esclaves du cartel bastringue... Tu parles d’un service pour le Peuple... ! C’est comme ça que certains dans l’histoire, sont devenus progressivement "supporters" de la maffia qu’elle soit sicilienne colombienne ou autre...
Cela dit, grace à nos "arénes" (d’arénae : sable qui absorbe le sang...), attestant des horreurs désormais innacceptables de l’histoire, monuments locaux porteur de cette époque pourrie où on flinguait les minorités à tour de bras, nos hommes politiques n’oublient pas et n’ont aucune envie de finir esclaves modernes... comme les esclaves anciens, sacrifiés sur le sol maudit où le sang innocent est versé....
Mais plus simplement, si un élu, au delà de ses convictions et sans corruption, ne fait plus respecter les valeurs républicaines, il ne s’agit plus d’un dé-puté, porte parole et à l’écoute du peuple : il s’agira d’un am-puté... ou d’un dixiéme de député, un déca-puté ?
Rassurons nous, notre bon peuple n’a élu QUE des députés incorruptables et donc incapables par exemple de soutenir le cas échéant des "cosa nostras" locales...
Bon si on parlait des citoyens, enfin des vrais, pas ceux qui sont esclaves de leurs pantoufles...