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Commentaire de Antoine Diederick

sur L'injure dans les règles de l'art selon la présidence tchèque de l'Union européenne


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Antoine Diederick 20 janvier 2009 17:37

le problème c’est que le projet européen se présente bien souvent comme une "mystique" des lendemains qui chantent alors que ce projet devrait, nous proposer une trancendance de la différence et une transcendance de l’histoire et des conflits européens ( transcendance euh, je ne sais pas si c’est bien choisi, bon). Finalement, ce sont surtout des considérations économiques qui l’emportent, même si, c’est un bon moyen de partager des savoirs-faire, etc....

l’exposition n’a qu’à seul mérite, montrer la platitude de la différence....et encore laquelle ?


ce n’est pas une oeuvre d’art qui est présentée, à mon sens, mais une sorte de panneau pub....un peu comme un logo graphique. En fait c’est un travail graphique mais exactement avec ce qu’on reprochait aux pompiers, le narratif, mais sans mythes grecs dedans.

C’est assez convenu.....pas de surprise , pas de trouble existenciel ni métaphysique. Pour la France par exemple, il aurait pu mettre une baguette un litron avec du saucisson....(éculé) .

Je me souviens d’une exposition de Balthus à Paris, où j’ai vu un gars , sortir, furieux en grommellant :" Mais il est fou, ce gars", en parlant de l’artiste.

Je sais ce que l’artiste propose pour la Belgique, des moules et des frites ? Qu’est ce qu’on se marre.



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