Bonjour, vous écrivez : "" un " fait nouveau " s’est produit ! En effet, en mars 2008, donc 8 ans après les faits, la "victime" contacte un nouvel Avocat à qui elle déclare avoir menti, en 2000, lorsqu’elle accusait Loïc SECHER de viols et d’attouchements sur sa personne"".
Trois choses : d’une part, un témoignage n’est pas un fait, et si scandale il y a ce serait non pas le refus de réviser mais le fait d’avoir condamné un homme sur une simple parole. Pourquoi la jeune femme contacte-t-elle un nouvel avocat ? Qu’est-ce que cela a à voir avec l’affaire ? Et enfin, pourquoi ne donne-t-elle pas le nom du vrai coupable ?
Cette histoire est pour le moins présentée par vous de manière obscure et la version précentée est non crédible. Est-ce parce qu’elle l’est ?
Je lis : "" Loïc SECHER, on l’a dit plus haut, était en liberté provisoire, en Savoie – donc loin de sa supposée " victime " - qu’il ne pouvait plus atteindre, à qui il ne pouvait plus nuire. Il respectait scrupuleusement un contrôle judiciaire sévère ! Ne fallait-il pas prendre soin de bien " ficeler " le dossier ? Le Juge ne devait-il pas chauffer à blanc ses armes ? Rendre l’accusation irréfutable ! Irréfragable ! Dûment établie, a jamais incontestable !""
" ne pouvait plus atteindre, plus nuire" !? Le reste est aussi incompréhensible !
Il ne suffit pas de dire Outreau ! Outreau ! Outreau ! pour avoir raison, désolé.