bonjour dach
j’ai passé ma vie dans le monde de l’entreprise à prendre en charge les problèmes qu’il généré.
J’ai vécu le passage à la technique du résultat pour savoir que sa valeur repose sur la crainte qu’elle développe ce qui ne met pas en cause l’estimation de son travail et les buts qu’il poursuit je pense en avoir mentionné la différence.
Vilain canard en donne une description très réaliste et les conseils des prud’hommes ont du définir une jurisprudence pour que le licenciement pour manque de résultat ne soit pas la vache à lait, comme la perte de confiance.
Ensuite loin de moi l’idée de ne pas associer le système économique au développement du progrès. Sauf que moi j’ai étai un des premiers à relayer la politique de Chaban et Delors en matière d’éducation permanente (la nouvelle société) et je peux t’assurer que personne n’en voulait à part les grandes entreprises comme Renault, IBM qui avait compris que l’avenir se trouvait dans le développement de la connaissance et y consacrait plus que ce qu’a fixé la loi. Ceci, poussé par celui du développement technologique, fruit des hommes qui travaillent et non des seul employeurs.
Je ne sépare pas nos destins, ni ne remet en cause l’utilité d’une unité de production industrielle, j’en conteste sa taille, ce n’est pas nouveau, ce fut la raison des lois anti trust, je leur conteste de déterminer notre destin de mortel. L’avidité a une porté morale, l’animal humain devant la rareté ne sais pas partager en de hors de son groupe. Ce stade est toujours encré en nous, mais la civilisation sert à le maitriser, ce qui fait donc de ceux qui si rapportent toujours pour justifier le droit de la force des « régressionnistes » (excuse moi pou le néologisme, je n’ai pas trouvé mieux pour te communiquer ma pensé). La civilisation peu effectivement se mesurer au confort qu’elle apporte, mais aussi à la nature des comportements qu’elle développe.
La compétition n’est pas une difficulté et est utile, la difficulté est quand le premier refuse de s’occuper du dernier a qui il doit, par ses incapacités, d’être en tête.
Imagine par aporie que l’on supprime toujours le dernier, il faudrait que le premier des suicide car sa vie serait impossible d’être le premier et à la fois le dernier.
Merci de ton commentaire cordialement.