L’amalgame que vous faites est aussi dramatique que de vouloir pénaliser la relation sexuelle sous prétexte qu’il existe des relations sexuelles imposées.
Ne vous en déplaise, il exise des cas d’inceste voulus par les deux parties !
Non je ne fais pas l’amalgame que vous m’attribuez ni ne nie l’existence de cas d’incestes librement consentis. Je m’en suis expliqué à quatre reprises déjà. En vous obstinant à me prêter à tort une position qui n’est pas la mienne, vous évitez de considérer mon propos sur l’inceste subi, c’est à dire mes arguments sur la pertinence de son inscription dans le code pénal en tant que crime spécifique.
C’est un artifice de justification assez classique à la position péremptoire qui est la votre. Mais jamais, on ne me l’avait servi avec une telle insistance.
Je vous remercie pour ce moment de surdité inédit.
Au revoir.
PS :
La définition d’inceste n’est pas relation imposée à un enfant par un adulte de sa propre famille.
La définition est relation entre deux personnes de même famille.
Par conséquent, votre combat pour que l’inceste soit reconnu comme un délit est un combat perdu d’avance.
Si l’on vous suit, le métier d’avocat ne devrait pas exister car en l’absence de précision, il peut désigner un fruit et qu’un fruit ne saurait plaider au tribunal.
Vous devriez réfléchir à votre propre confusion au lieu de vous borner à la projeter sur mon discours.