@xa,
voilà qui replace le sujet sur un dialogue entre les différentes disciplines qui pourraient contribuer à plus de clarté en la matière. Ce en quoi je vous suivrais. Oui il y a bien un ressort psychologie et social qui ihnibe les paroles de victimes.
Il est fâcheux que vous n’ayez pas pris connaissance des témoignages de victimes. Les raisons qui scellent leur silence sont souvent très perceptibles. Elles tiennent au mode opératoire du prédateur, lequel est connu, repéré et si ce modus operandi n’est pas stoppé, ces prédateurs maintiennent la victime sous influence autant de temps "qu’elle leur sert". Il est alors déplorable que la société – en ses rouages policiers, judiciaires et sociaux éducatifs – prennent le relai de l’étouffement.
Je le répète, il y a là plus qu’une atteinte physique, il y a atteinte perverse aux mécansimes fondateurs de la personnalité, ce qui laissera des traces la vie durant si aucune réparation, aucune prise en charge n’est rendue obligatoire dans le cadre de la loi.
Par ailleurs vous reprenez une vielle antienne sur le risque de sur-victimation spécifique du système judidcaire anglo-saxon. Sans revenir sur des débats qui ont déjà eu lieu, ici mais ailleurs sur le web, si j’ai bien lu Serge Portelli et Sophie Clément, tous deux magistrats, ce risque est encore bien lointain. (Les droits des vicitmes)
En vous suggérant de venir à plus de réalité, je ne cherchais nullement à porter atteinte à votre personne, et n’y ai jamais fait référence, ni n’émettais de doute sur votre probité . Nous demeurons, ici dans le strict cadre d’un débat d’idée. Je pense en avoir été respectueux.