Il est fort probable que notre comédien anonyme écrive cent fois mieux que la plus part des pistonnés médiatiques.
Bon, cela étant dit, Walter nous écrit : " La référence à des populations suivant leur religion : je ne vois pas le rapport. Ou alors, une forme de non-acceptation de la diversité, historique ou récente." Mais non Walter, vous exagérez il n’y a pas de non-acceptation de la diversité dans un système quasi monopolistique, allons voyons, soyons sérieux.
Le fait qu’il y ait une majorité de fils et de filles à papa ou à maman dérivés de la même communauté n’est pas en soit surprenant, une fois installée en position dominante la route est ouverte à toutes les dérives et à tous les passe-droits.
Si ces personnages étaient tous reconnus comme excellents dans leur domaine particulier, peut-être pourrait-on l’accepter jusqu’à un certain degré. Mais ce n’est absolument pas le cas !
Les acteurs par exemple, alors la ! Il y a de ces nullités qui ne devraient en aucun cas avoir droit de cité sur les écrans soit parce qu’ils sont mauvais en tant qu’acteur, ou tout simplement parce qu’ils n’ont aucun talent particulier, et en plus sont souvent assez moches. La beauté a déserté les écrans, on nous impose de ces mochetés maintenant, à y perdre son sens de l’esthétique !
Mais que peuvent-ils faire d’autre ces saltimbanques, sans bagage scolaire particulier. C’est la planque !
Les chanteurs ! Pire ! Ce que l’on entend et voit aujourd’hui (à part de rares exceptions) est absolument terrible et d’une nullité abyssale (on ne parle pas du rap ici qui appartient à un autre groupe). Le système établi impose un style particulier qui, bien entendu, confine à l’inacceptable.
Les chanteuses chantent aujourd’hui de drôle de textes avec de drôles de mélopées et intonations vocales totalement étrangères à la plus part des gens, sauf pour les jeunes qui baignent dans cet environnement et ne connaissent rien d’autre.
Les chanteurs, on n’en parle pas, ils sont complètement aphones.
Les présentateurs de shows télévisuels ! Ah oui ! Là aussi on a des exemples croustillants et parfois très vulgaires. Mais c’est comme pour tout les autres, ils ont des circonstances atténuantes.
Et pour finir cette revue du spectacle non exhaustive, les comiques, ah ! Les comiques, là aussi on retrouve les mêmes, mais la différence c’est qu’ils peuvent se moquer de certaines choses, souvent très orientées, ou d’autres seraient immédiatement cloués au pilori.
C’est curieux quand même, on veut nous faire croire qu’il n’y a que ces gens-là qui soient de bons acteurs, chanteurs, présentateurs et humoristes.
Le problème c’est que dans cet environnement incestueux, les tares ne font que s’amplifier et le système ne peut que dégénérer.