
Dommage d’avoir effectivement saboté un article potentiellement intéressant par de tels parti-pris politiques. L’auteur semble ignorer que les deux-tiers des français ne se réclament ni de droite ni de gauche, ce qui rend son analyse sérieusement archaïque. Quant à la vraie gauche, le MoDem à droite, et tutti quanti, ce discours sent bon la naphtaline façon Arlette ; le charme surrané d’une vielle photo noir et blanc un peu jaunie.
Bon, mis à part ces élucubrations même pas digne du comptoir du coin (où l’on entend finalement pas mal de chose juste avant le troisième verre), reste que les fermetures d’usines pour raison financière sont uen vraie plaie économique et un gachis social inacceptable.
Deux types de mesures s’imposent :
- d’abord, des pénalités importantes dasn ce type de fermetures, aggravées en cas d’absence de plan social digne de ce nom
- en parallèles, de vraies mesures incitatives à la reprise de ces usines, notamment par les cadres de l’entreprise. Dans ce type de cas, où l’usine est rentable, il faut éviter une reprise par des financiers menant à une nouvelle vente à la déoupe, et favoriser la reprise par les cadres, qui connaissent le travail et le contexte, et n’ont pas nécessairement les mêmes apétits financiers. Bien sûr, évitons d’être naïfs, et conditionons les aides à des reprises durables...