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Commentaire de Bois-Guisbert

sur Quand Obama donne une double leçon à Sarkozy


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Bois-Guisbert 5 février 2009 20:12

 
Les termes que vous rapportez ont été pris dans votre Pravda

Des Pravda, j’en ai deux. Voici ce qu’on lisait dans l’une d’elle, le 20 janvier 2009 :

« Maintenant que le choeur “Obama au plus haut des cieux” s’est enfin assoupi, nous pouvons réfléchir à ce qu’il s’est produit. Il s’est agi d’un cas gigantesque d’Illusionnisme planétaire. Sans précédents. A étudier des point de vue sanitaire, psychologique et psychédélique. Donc, un homme qui n’a jamais gouverné un Etat ou une ville, duquel on ne sait rien au-delà des paroles et surtout de l’image est instantanément proclamé Espérance du Cosmos.  »

Dans la seconde, Pravda le 23 janvier 2009, ce titre :

Obama, noir et idéaliste ? Allons donc ! Café au lait et cynique !

Et au-dessous à propos du même : "Un vrai cynique : je crois qu’il ne croit en rien. Mais le plus grand cynique est celui qui réussit à faire croire aux valeurs, auxquelles lui-même ne croit pas. C’est un arabo-américain qui n’oubliera jamais sa religion d’origine, l’Islam."

La première citation est de Marcello Veneziani, l’un des éditorialistes du quotidien Libero, de Milan, les secondes sont extraites d’une interview de Francesco Cossiga, président de la République italienne de 1985 à 1992, publiée par un autre quotidien milanais, Il Giornale. Les deux titres totalisent un peu plus de demi-million d’exemplaires.

C’est évidemment tout autre chose que la soupe tiède des tapettes du politiquement correct hexagonal, que je ne fréquente plus depuis longtemps, depuis très longtemps. Désolé...
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