Léon,
Je viens de lire la pitoyable réponse que vous me faites…
Vous me rappelez les trotskistes de ma jeunesse, dans les années 70-80… Vous êtes un vieux trotskiste. Vous aimez tordre les faits et les opinions.
Vous êtes un manipulateur et ce qui vous caractérise sans doute le plus est votre absolu manque de respect à l’égard de vos interlocuteurs que vous vous plaisez à insulter. Vous vous jetez sur eux, déformez leurs phrases et leurs idées, vous les diabolisez, vous inventez sous leur plume les pires stupidités ou pensées extrêmes et vous déclarez ensuite que ce sont des stupidités et de l’extrémisme !
J’ai maintenant parfaitement compris votre jeu tactique. En moins hystérique que morice, plus chafouin, vous cherchez à faire passer votre idéologie à travers des faits que vous tronquez, sélectionnez, amalgamez, puis jeter en pâture aux incultes et fanatiques qui n’attendent que cela, et boivent vos paroles comme du bon pain pour mieux alimenter leur haine raciste et irrationnelle. Vous vous complétez, vous êtes faits pour vous entendre.
Vous jouez sur les émotions sous couvert d’intellectualisme. Mais vous n’êtes pas un intellectuel, juste un propagandiste comme il y en a tant. La réflexion, la nuance, le débat, l’écoute, autant de qualités qui vous font défaut.
Si j’avais du temps à perdre je donnerais de multiples exemples de votre technique de distorsion et propagande. Je l’ai parfaitement perçue dans toutes vos réponses ou interventions. Vous n’êtes même pas un petit télégraphiste d’une quelconque officine, non, je ne suis pas complotiste. Non, c’est votre ego qui vous porte, vos certitudes, votre fatuité intellectuelle.
Heureusement, le monde change, et j’espère que vont disparaître les petits intellectuels dans votre genre, qui se sont toujours trompés, comme vous, accrochés aux vieilles lunes, et dont la principale caractéristique est le DÉNI DE RÉALITÉ. Espérons que les braises qu’ils attisent après avoir mis le feu, s’éteindront d’elles-mêmes après l’extinction de ce pseudo-magistère de la pensée et de la morale.
Je connais bien les jeunes : j’ai confiance en eux.