LIIIIIIFE !
L’espéranto apporterait sa bien plus grande facilité, que j’estime au pifomètre (l’UE refuse de lancer une étude à ce sujet... niveaux en Eo, anglais et français après le même temps d’étude) à un facteur 10,
Parce que ça n’a pas de sens. Une langue en elle-même n’est pas facile ou difficile. Ça ne veut rien dire. Et quant au « facteur 10 « , pff, quand on a vos connaissances, le seul facteur dont on peut se permettre de parler, c’est celui qui distribue le courrier.
ce qui veut dire accessible à la majorité de la population, même ceux qui ne font pas de séjours linguistiques, n’ont ni le temps ni l’envie ni l’occasion de pratiquer.
Une langue qui serait parlée par des gens qui n’en ont aucun besoin, donc.
Donner à tous les Européens ou presque la possibilité d’une langue véhiculaire commune, c’est créer une opinion publique européenne, un espace de débat, bref, c’est la démocratie, là où l’anglais-roi est l’injustice et l’éiltisme.
Vous dites que donner une langue commune aux Européens, c’est positif et démocratique. Mais si cette langue commune est l’anglais, c’est injuste et élitiste ??? C’est pas la cohérence qui vous étouffe.
Justement, l’espéranto se développe, j’en ai donné de nombreux exemples.
« agoniser » et « se développer » ne sont pas vraiment synonymes.
Simplement, la vie est une juxtaposition de microcosmes, chacun dans sa bulle ou son environnement professionnel, plus quelques liens avec d’autres cercles, mais finalement nous ne percevons qu’une fraction du monde.
Là, par contre, je suis tout à fait d’accord.
Le soutien par l’UE, ou la fin de cette autocensure des grands médias (sauf France Culture et France 3) donnerait un sérieux coup de pouce à la visibilité de l’Eo par les Français.
Mais les grands medias, pour d’évidentes raisons, ne parlent que de ce qui est susceptible d’intéresser le plus grand nombre.
La France, probablement du fait que nous sommes une des langues de travail de l’UE (sur le papier..), et une des langues de diffusion internationale, garde de grandes réticences envers l’Eo, en bon français, de la jalousie !
Faudra m’expliquer l’intérêt d’enseigner une langue qui n’a pour ainsi dire aucune littérature.
Typhon