attention, tout naît d’une contingence historique, on ne peut pas nier le contexte, ce serait donner un appui facile pour les critiques des droits de l’Homme qui reprocherait le côté abstrait de ceux-ci ; mais la genèse des droits de l’Homme sous une forme ou sous une autre, n’interdit pas a priori qu’ils aient une prétention universelle, ils doivent simplment êytre misà l’épreuve d’une réalité universelle ; c’est ce que j’essaie de faire en approchant ce qui fait que l’humain est humain, indépendemment des origines, systèmes sociaux, religions.
Le système des droits de l’Homme n’est pas intangible, il peut être amélioré (il ne nous est pas donné par un être suprême) ; nous devons surtout considérer le cadre qu’il offre (un cadre qui dépasse les valeurs, la culture : on trouve des traces de "proto"-droits de l’Homme surtous les continents, le problème était, en des temps reculés, la définition de l’Homme et la distinction de race) et son objectif : l’épanouissement de l’Homme et le respect de sa dignité ; les droits de l’Homme universels sont là pour nous rappeler que l’humanité est une ; ensuite nous pouvons nous interroger sur la mise en ouevre de tel ou tel droit, car au fond les droits de l’Homme sont d’abord une affaire de politique ; mais la politique n’est démocratique que du moment au le demos a la possibilité de participer effectivement à la délibération ; et cela demande le respect des droits de l’Homme... C’est intéressant comme nous pouvons identifier ainsi la dynmique politique et le rôle que devrait y jouer les droits de l’Homme.
Tou cela pour dire que si les droits de l’Homme sont un fondement indiscutable, ils ne peuvent pas ne pas être soumis à la discussion en particulier en vue leur amélioration (encore une fois l’amélioration doit aller dans le sens de plus d’épanouissement de chacun dans le respect de l’autre). Les différences culturelles avancées portent finalement plus sur la finalité des droits de l’Homme que sur els droits de l’Homme en eux-mêmes, d’où l’importance de rappeler que la dignité signifie de pemettre que chacun puisse prendre en main sa vie, s’il le souhaite.
Attention à une chose, l’emploi du terme de personne : il ets directement à la problématique ddroit à la santé sexuelle et reproductive et utilisé par le tenants de l’interdiction de l’avortement. Un mot n’est qu’un mot, nous l’entendons comme bon nous semble, mais celui-ci est clairement connoté...