bonjour, je ne suis pas spécialiste mais il apparait aprés prise de renseignement que dans certains dossiers de violences conjugales,
la procédure si certaines conditions psychologiques sont remplies comme l’influençabilité/ fragilité psychologique de la plaignante ou que le mari est membre d’un groupe capable d’exercer pressions et menaces, on décide d’éloigner la mère et les enfants.
Et même si je me doute qu’au moment où ils prennent cette décision a Reims ils n’imaginent pas un seul instant qu’ils l’envoient traverser une telle journée d’enfer supplémentaire à nancy, il n’empeche qu’elle en est la résultante directe.
Contractuellement je pense que la responsabilité échoie aux services nancéens d’acceuil de cette femme, qui de toute évidence ont faillie, puis se collectivise lorsque la multiplicité des structures censé aider qui ferment simultanément pour congés.
Mais du point de vue sociologique, il existe une évidente probabilité de hausse de violence conjugale dans un contexte de crise, et encore avant hier je vivais avec l’impression naive que ces drames, surtout implicant des enfants en bas age, étaient traité avec une volonté pragmatique d’efficacité.
hier il a fallut que ce soi ma pharmacienne qui pallie au pire, ce qui est rassurant sur le plan de l’humanité, et je la remercie encore, même un peu de façon égoïste parce que sans elle je pense que j’aurais du me faire aider par la police pour gérer ma colère, mais cela en dit aussi long sur les dysfonctionnements dés à présent de ces structures.
S’ils sont déja capable d’oublier un dossier et laisser une mère analphabète seule et sans nourriture pour ses gosses dans la ville ou on l’envoi, et je reste polie, on peut craindre bien d’autres journée similaires dans l’année.
Amicalement, barbouse, écoeuré.