Commentaire de Loïc Decrauze
sur Les coups de la crise
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En effet, quelle réussite ce service public qui se hérisse dès qu’on ose toucher à son fonctionnement. Un modèle d’évolution.
La seule et unique occasion que j’ai eu de fréquenter l’enseignement public, et en l’espèce une université de Lyon, m’a édifié sur le respect de l’enseignant qui règne dans ces contrées. Ayant effectué diverses vacations, j’eus la mauvaise surprise de n’être payé que plusieurs mois après. Une pratique courante envers ceux dont l’université a bien besoin pour assurer certains cours : on leur demande d’être disponible tout en ne les payant pas le mois suivant le travail effectué ! Délicatesse qui m’a contraint à envoyer un courrier comminatoire au président des lieux, lequel avait par ailleurs couvert des travaux contestables en histoire...
Derniers commentaires
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18/02 12:07 - Loïc Decrauze
Je n’hésiterai pas soyez-en assuré, et avec moult détails qui attisera votre dérisoire (...)
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17/02 23:44 - wesson
"Ravi de vous avoir déplu... je ne pouvais espérer mieux." Et bien, la prochaine (...)
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17/02 16:18 - Loïc Decrauze
J’en penserais que la mesure serait bien venue puisqu’il est avéré qu’il y a (...)
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17/02 16:13 - Loïc Decrauze
En effet, quelle réussite ce service public qui se hérisse dès qu’on ose toucher à son (...)
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17/02 15:59 - Loïc Decrauze
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17/02 14:26 - plancherDesVaches
Votre appartenance à l’enseignement privé explique bien votre discours. Et conforte ma (...)
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