@Imhotep
110% d’accord avec votre analyse.
Réformes, réformes, réformes, réformes... voilà son unique mantra à notre Sarko.
Destruction du modèle français et de son indépendance, main mise sur les médias, collusion avec les puissances financières, recul social, salariés pauvres, travaille précaire, appauvrissement de la classe moyenne, faveurs aux riches, voilà son unique résultat à notre Sarko. Voilà sa vision pour le peuple qui, aveuglé par ses promesses trompeuses, l’a élu pour son malheur.
Toutes ces réformes dans tant de domaines, si nombreuses que personne n’en mesure toutes les conséquences, ne présages rien de bon pour l’avenir.
La France recule au lieu d’avancer, car Sarko porte un regard nostalgique vers le passé, lorsque le salarié, entièrement soumis aux patrons, travaillaient de 48 à 60 heures par semaine pour 2 ou 3 semaines de congés payés.
La France perd son identité et de plus en plus de citoyens leur dignité. Pourtant années aprés années les entreprises du CAC40 cumulent des centaines de milliards d’Euros de bénéfices.
En moins de 2 ans, Sarko a complètement défiguré la France de l’intérieur et considérablement amoindri sa notoriété à l’extérieur.
Sarko ne se comporte pas comme le président de la France mais comme celui de l’UMP.
Peut—on imaginer encore 3 ans de Sarkozisme ?
Alors, pour la première fois de ma vie, à 50 ans, je ressens une colère sourde mais profonde, qui me fait entrevoir la révolte du peuple, LA REVOLUTION, comme l’ultime solution, face à un pouvoir qui n’a de cesse de satisfaire le patronat et les puissances financières, baillonnant à tous les niveaux la voix du peuple.
Ce constat ne me réjouis pas, au contraire, mais je crains que Sarko, par son obstination maladive aggravé par un orgueil démesuré, ne provoque l’évènement qui allumera la mèche de la révolte.
Je plains les jeunes pour l’avenir sombre qu’on leur propose dans une injustice totale. Mais j’ai confiance en leur volonté absolue de renverser les murs qui les empêcheraient d’accéder à un avenir meilleur qu’ils sont en droit de vivre.