il est temps que le gouvernement fasse le ménage dans ce qu’il faut considérer comme l’un des dernier s mammouths publics.
en fait, l’afpa est à la fois sur le marché de la formation continue et distribue des catalogues de formation courtes tout en bénéfiçiant des personnels et des matériels financés par des subventions.L’afpa veut la concurrence et la subvention faisant ainsi une concurrence peu loyale.
le nombre de cadres supérieurs dépasse de bien loin l’admissible A Montreuil le siègede l’afpa comprend beaucoup beaucoup de monde alors que la gestion de la formation est désormais dévolue aux régions.
Courrant 2009 les régions vont lancer des appels d’offres. Il est cependant à craindre que compte tenu des pressions noamment des syndicats les appels soient flèchés ; Cette solution si elle était appliquée se ferait au détriment ds chômeurs et contribuables qui auraient à payer de nouveau un service souvent baclé.
il y aurait beaucoup à dire sur les directions régionales dont beaucoup sont dirigés par des notables plus que par des gestionnaires. Il est sain que la mise en concurrence remette les pendules à l’heure.
faible qualité, monde passé, copinages, hiérarchie peu qualifiés tels sont, en partie, les maux de l’afpa.