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Commentaire de Hermes

sur Le 112, trop méconnu des Européens selon la Commission


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Hermes Hermes 22 février 2009 19:00

&Moi ce que je vois, c’est que tu ne comprend pas l’anglais,&

Hors-sujet 

&d’une manière générale tu es incapable de comprendre un texte rédigé.&
 
C’est quand, que vous enlevez votre poutre de l’oeil

&Du coup, dès que tu essaye de contrargumenter dans ton petit-nègre habituel, c’est frappant de voir le contraste entre le sens véritable d’un texte et ce que tu crois en comprendre. &

Tiens, on dirait que vous parlez de vous

&Je me rappelle qu’il y a longtemps, j’avais démoli l’idée stupide selon laquelle l’anglais détruisait la diversité et culturelle &

Je suis d’accord avec vous c’est pas une nouvelle

&que ce qui détruisait la diversité culturelle, c’étaient des mentalités impérialistes et élitistes qui n’avaient pas de rapport avec la langue. &

La fin n’est pas clair

&Bingo ! Ces mentalités ridicules se retrouvent partout, dans les conseils d’administration où, malgré le fait que tout le monde soit français, on parle anglais, &

c’est pas une nouvelle, j’en ai déjà parlé

&ET dans les congrès espérantistes. &

Cela peut arriver aussi. Pour ma part je ne suis pas affilié à UEA, trop de problèmes internes, certains forment une élite auto-proclamée. Et je suis d’accord avec vous, dépenser de l’argent européen pour faire n’importe quoi, c’est assez minable quand on défend une cause.

Sinon pour les congrès rien n’empêche de parler la langue de l’autre interlocuteur. Non, le problème vient, quand une personne veut entrer dans la conversation et ne connaît pas la langue du moment. C’est un problème qui se pose que se soit l’espéranto ou l’anglais. Dans mes connaissances beaucoup sont polyglottes et parlent dans des langues autre que l’espéranto avec des esperantophones dans les congrès ou sur internet, mais pour toute chose il a le lieu et le moment pour ça. Si, vous avez des intervenants ne connaissant que l’espéranto comme moyen de communication, je pense qu’il ne faut pas les laisser sur le bord de la route des conversations et eviter de krokodiler, cela est plus poli je trouve. Sinon j’ai aussi eut des histoires d’esperantophones, qui ne veulent pas parler leur propre langue maternelle dans des congrès, l’espéranto est pour eux une certaine protection. Ou encore des esperantophones un peu trop imbu de leur petite personne reprenants sans cesse leurs intervenants sur la façon d’utiliser la langue, alors que c’est tout à fait compréhensible.

Donc le ou plutôt les mouvements espérantistes est/sont un monde très vaste en définitive.


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