Bruxman, une entreprise, une vraie, qui sait produire autre chose que du vent, embauche quand elle a besoin de main d’oeuvre, pas quand les impôts sont bas. J’ai rarement vu une entreprise préférer refuser un contrat par manque de main d’oeuvre que d’embaucher un gars supplémentaire.
Le monde est fini, s’il y a accumulation de richesse quelque part, c’est qu’elles vont finir par manquer ailleurs. La possibilité qu’on certain d’accumuler de la richesse n’est en rien responsable de l’amélioration du niveau de vie des gens. Cette amélioration est bien plus due à la science, à un non-respect de la planète (il est plus simple de gaspiller et de pomper les ressources naturelle que de ne prendre que les ressources renouvelables), et à une exploitation de main d’oeuvre bon marché à l’étranger (esclavage déguisé, en utilisant la violence économique plutôt que la violence physique, bonne vieille méthode romaine qui a fait ses preuves)(comprenons nous bien, ce qui est gênant, dans l’énoncé, c’est surtout le "bon marché", non pas le "à l’étranger". Faire travailler des ouvrier chinois avec des salaires comparables à ceux appliqués en occident ne poserait plus que le problème écologique du cout énergétique du transport).
Vous semblez oublier que les pauvres, en France, sont bien plus aidé, bien moins humiliés et rabaissés, qu’ils ne le sont dans les pays comme l’Allemagne ou l’Angleterre. Donc notre gauche n’a peut être pas complètement tord de ne pas les suivre. Vous oubliez également que la richesse est une chose relatif, et que c’est bien l’écart qui est un problème. Je suis parfaitement près à vivre moins bien, certainement pas près à être le seul. La civilisation est faite de sacrifice. Regardez la communauté scientifique. Les membres de cette communauté font régulièrement des sacrifice personnel. Travailler sur un sujet non rentable à cour therme par exemple, ce qui ne leur rapportera pas grand choses, la rentabilité de leur recherche ne se verra pas de leur vivant. Ou encore le partage des idées, sans brevet, par simple publication. Ce principe de fonctionnement porte un nom : la coopération. C’est cette dernière qui est à la base de la civilisation. Et la coopération ne se fait pas sans sacrifice.
Hors que voit on ? Que des personnes refusent le sacrifice. Et ainsi, la société devient de plus en plus instable, imprévisible et chaotique. Ce qui ne peut amener qu’au déclin.
Sinon, pour les personnes qui disent que taxer le patrimoine revient à taxer la fourmi au profit de la cigale, rien n’interdit justement d’exclure les dettes et créances du patrimoines, et d’intégrer . Par exemple, une personnes qui emprunte une somme n se doit, à mon sens, de payer des impôts sur la somme n, de même, une personne qui prête la somme n, n’a plus à payer d’impôt sur la dite somme, ce qui permettrait de favoriser le près tout en interdisant l’usure. Et de taxer les cigales tout en taxant le patrimoine, qui est la forme la plus juste de taxation, basé sur le principe "de chacun selon ses moyens". Si on ajoute à cela une forte TVA sur les produit basé sur un gaspillage (alcool, tabac, jeux), on arrive à un système d’imposition qui est juste. Restera ensuite à l’équilibrer pour que les dépenses soient inférieurs aux recettes. Au passage, il est à noter que si on considère l’ensemble des dépenses associés à des services assumés par l’état en France, la france n’est pas si mal placé que cela (pour les classes moyenne, j’entend). En effet, dans les pays Anglo-saxon par exemple, les dépenses d’éducation sont largement supérieur . De plus, la somme "dette publique + dette privée", en France, ne nous place pas si mal en comparaison d’un certain nombre d’autre pays.
Reste après le problème des traîtres, car il n’y a pas d’autre mots, à savoir les personnes, enrichies par leur pays (parce qu’on ne devient pas riche de son propre fait, l’environnement, dont l’état fait partie, joue un rôle prépondérant.) qui refusent de participer à l’effort national, et donc partent vers des pays à la fiscalité plus clémente. Une première chose à faire est évidement de retirer à tout ces traîtres tout avantages que leur procure leur citoyenneté française, mais ça ne suffira pas. Honnêtement, j’ai du mal à trouver une solution soft pour régler le problème des traîtres, et on ne peut pas se permettre d’ignorer ce problème. Je rappel que, quand une personne meure sans héritier, ses biens retournent à l’état.