@Mycroft,
Vous dîtes :"La liberté de faire ce que l’on veut avec ses biens n’a pas à être fondamental, tout simplement parce qu’on doit accepter la notion de partage".
Et c’est bien entendu l’hydre étatique qui gère le partage, car l’état sait bien mieux gérer que l’individu....Et tout le monde devient pauvre.
Je vous signale que mon avatar que l’on distingue assez mal est la photo d’une statue dédiée à Kafka, à Prague. Cette statue représente un petit bonhomme juché sur les épaules d’un grand bonhomme. Le seul problème c’est que le grand bonhomme c’est seulement un costume vide, sans personne à l’intérieur. Kafka essayant de maîtriser l’Administration, immense et puissante, qui agit sur les hommes mais qui n’est pas un homme.
La pauvreté des villages corses est aussi due au fait que les droits de succession ayant été supprimés par Napoléon, lors d’un décès ils ne soldent pas les successions, une maison reste en "indivision", les indivis meurent et la maison passe à une plus grande indivision. Ce qui fait que :
- tout est la propriété de chacun dans le village.
- une maison appartient à 30 personnes, donc personne ne voudra investir pour les autres.
- la maison est invendable car il faut l’accord de tout le monde pour vendre, ce qui est très difficile à obtenir.
Donc la maison tombe en ruine.
Les systèmes qui débouchent sur des gestions amplifiées de l’Etat, il faut apporter des éléments convaincants.
Et il n’est pas question que l’on m’oblige à manger ce que je ne veux pas.
Déjà que l’on m’oblige à boucler une ceinture sinon on peut arriver à me retirer mon permis de conduire. Qu’on me colle une amende à la limite je veux bien, mais que l’on me prive de mon boulot en m’enlevant mon permis alors que ce n’est que ma propre responsabilité qui n’influe pas sur la santé des autres..
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