@Bruxman
Sur la recherche : Vous êtes vous demandé ce que ces gens, brillant pour laplus part, auraient pu gagner s’ils avaient décidé de bosser dans la finance, ou n’importe qu’elle autre travail vraiment lucratif ? Bien plus que ce qu’il gagne actuellement. De plus, je ne vois pas en quoi le fait d’avoir s : es déplacement pris en charge par son employeur est un avantage des chercheurs. C’est pareil pour tout les cadres. Attention, je ne dis pas que les chercheurs sont malheureux, le salaire en thèse, il est très bon, même si faible par rapport au salaire obtenue dans le privé à niveau de compétence égale. Juste qu’eux ont le mérite de ne pas faire leur métier par cupidité car ils ont des alternative largement plus rentable. Et que refuser de céder à sa cupidité c’est un sacrifice, sacrifice nécessaire pour la communauté.
Vous affirmez vouloir vivre mieux. C’est dangereux. Comme je l’ai dit précédemment, nous sommes dans un monde fini. Vous ne vendez pas un logiciel, un logiciel n’est qu’une information duplicable à l’infini, vous vendez le temps passé à le produire. C’est ça qui a un prix. Un objet duplicable à l’infini n’a aucun prix, aucune valeur, ce qui fait la valeur d’une chose, c’est sa rareté. Sinon, ça voudrait dire qu’on pourrait créer et non transformer. Ce qui n’a aucun sens, on crée toujours à partir de quelque chose. Vous me direz qu’on a tous du temps à vendre, ce qui est vrai, maison ne peut pas tous en faire quelque chose. parce que pour faire quelque chose de son temps, il faut des outils,
Sur l’entreprise : vous avouez, en essayant de vous défendre, à la fois votre incompétence et votre cupidité. Pour économiser, vous avez donc préféré fournir de moins bonne qualité (vous l’avouez vous même) plutôt que de faire les choix qui s’imposait (et que n’importe quel employeur intègre aurait fait). De même pour la R&D. Quand on sait que la moyenne des entrepreneurs tournent à 4000 euros par mois en France, et qu’on vie très bien avec 1500 euros par mois et par personne, un entrepreneur qui sacrifie l’avenir de son entreprise (parce que la R&D c’est l’avenir) pour sa petite personne et ses petit plaisir, c’est un individualiste dangereux. Donc crée des impôts ne ralentis l’embauche que parce que les entrepreneurs sont des gars comme vous, ce n’est pas les impôts qu’il faut blâmer, ce sont les entrepreneurs. Le travail d’un entrepreneur, c’est d’être responsable (sinon, il ne sert à rien), vous refuser d’être responsable tout en demandant à garder vos avantages en tant qu’entrepreneur (dont le principal est de ne pas perdre son boulot à cause de l’incompétence d’un autre).
Sinon, pour le "on a pas le droit de partir", bien sur que si, mais après avoir remboursé ce qu’on doit à l’état. C’est à dire à peu près tout ce qu’on a. Parce qu’en effet, sans la protection de l’état, la plus part d’entre nous ne serait même plus vivant, tué par un autre être humain (lisez donc Hobbes). Qu’une bonne partie d’entre nous ne fait des études que grâce à l’état (y compris de très hautes études très reconnues, comme polytechnique ou les ENS par exemple). Qu’un nombre non-négligeable d’entre nous doit le fait d’être en bonne santé, à l’état. Certes, tout cela coûte cher. Mais si on faisait ça si mal, en France, pourquoi les français n’ont il pas tant besoin de s’endetter par rapport aux autres ?
Sinon, pour l’histoire de la banque, avez vous bien compris que je parlais de supprimer l’usure au passage ? Ce qui rendrait peu lucrative l’activité banquaire en elle même.
Enfin sur le "scier la branche sur laquelle je suis assise" : vos propos sont ceux d’un esclavagiste. Mot pour mot. En gros "puisqu’on vie bien sur le dos des autres, tant pis pour les autres". De même quand vous dite vouloir vivre mieux. Si c’est sur le dos des autres, c’est sans moi. Et vous qui avez affirmé vouloir me tuer dans un autre poste, j’avoue être tenté de vous rendre la pareil quand je vous vois dire des monstruosité pareil. Je ne veux pas être à la place d’un autre, donc je veux que lui reste à cette place. C’est le résumé de votre mentalité. Au fait, à votre place, je ne cracherai pas trop sur les loser, comme vous dites. C’est souvent eux qui finissent par ne plus rien avoir à perdre. Et il n’y a rien de plus dangereux qu’un homme qui n’a rien à perdre. Parce qu’au final, la principal raison pour laquel je suis pour éviter d’abuser de mon prochain, c’est que je ne suis pas particulièrement envie de le voir sombrer dans le crime et la violence.