@ L’Auteur :
Vous dites : " J’aurais encore beaucoup a dire sur le CNRS et plus généralement la recherche, mais je crois que tout le monde s’en fout... sauf les gens du CNRS qui de temps à autre m’insultent sans grande conviction d’ailleurs ".
Je ne suis pas chercheur, mais, j’ai fréquenté pour raisons professionnelles ces établissements et leurs personnels scientifiques et autres.
Ce sont des gouffres à fric, pour des résultats médiocres. On ne devrait pas confier la recherche à des personnes qui ont un statut de fonctionnaire. Seul l’intéressement et l’étanchéité de ce type d’établissement pourraient avoir un sens.
Je peux comprendre le découragement de certains, qui sachant par avance que leurs recherches seront copiées avant publications, finissent par déserter les labos.
Ce sont des passoires comme nos centrales nucléaires dans la vallée du Rhône et ailleurs.
La Police ne peut y accéder que sur autorisation, domaine universitaire oblige.
Par contre, la surveillance par les services de gardiennage privée est fantomatique et des étrangers déambulent dans tous les départements, sans contrôle particulier.
Étrangers, invités par certains chercheurs dans le cadre d’échanges internationaux, mais, qui logeant sur place, souffrent souvent d’insomnies de " curiosités " ou de somnambulisme scientifique… !
Ne parlons pas du personnel de nettoiement, qui récupère dans les bureaux des documents qui ne sont pas passés aux destructeurs, je ne parlerai même pas d’incinérateur.
Ces observations sont à décharges de l’absentéisme endémique qui frappe les personnels scientifiques des CNRS.
Sur le plan de la sécurité NBC, je préfère me taire !
Remarquez que les maladies professionnelles, ne seront pas légions, compte tenu du temps de séjour dans les labos.
Conclusions : La recherche doit relever du privé, à moins que sa destination soit considérée comme étant du domaine humaniste…. !