Voilà donc 8 pays occidentaux, fondés par des populations blanches aux cultures sociales, économiques et politiques très différentes. Ils sont répartis sur 3 continents dont le peuplement correspond à des circonstances historiques variées. Tous sont confrontés au même phénomène : une hausse du nombre de viols, en particulier du nombre de viols collectifs. Dans chacun de ces pays, dès l’instant qu’on écarte l’explication du « racisme » et de la « discrimination » exercée par la population locale, on observe plusieurs constantes. Toutes les études et tous les rapports des services de police mettent en lumière un lien entre les viols collectifs et l’origine ethnique non-européenne d’une grande partie des agresseurs, qui sont toujours statistiquement sur-représentés par rapport à leur proportion de la population. Ce phénomène est déterminé par plusieurs facteurs combinés qui sont de type culturels, raciaux ou racistes.
L’islam est un élément culturel récurrent et déterminant dans tous les pays occidentaux où on observe une augmentation des viols collectifs. C’est un élément qui influence des agresseurs issus de populations aussi différentes que les Maghrébins, les Africains, les Pakistanais ou les Arabes. La culture musulmane véhicule un racisme religieux envers les personnes appartenant à d’autres religions. Elle prône une vision dévalorisé de la femme en général et particulièrement infériorisée de la femme non-musulmane. A ceci s’ajoute les stéréotypes racistes des cultures du tiers monde qui présentent les femmes occidentales comme des êtres sans âmes, assoiffés de sexe et sans morale. Les victimes ne sont pas toujours des femmes blanches.
http://www.racismeantiblanc.bizland.com/viols_racistes/09conclusion.htm