Des calculs toujours des calculs. Si l’économie ce n’était que du papier cela se saurait.
J’ai cherché les champs où pousse l’argent, les mines d’où l’on extrait les cartes de crédit. Je ne les aient point trouvés.
Mais alors ? Des hommes ne créeraient-ils pas l’argent pour d’autres hommes ? Mais qui sont ces Hommes ?
Les banquiers, les institutions bancaires privées. Elles ont le monopole du crédit.
Qu’en ont elles fait ? Spéculation, usure, licenciements, délocalisations, ... Et boom défaut de remboursement, tous les remboursement escomptés ne viennent pas, d’où les fraits engagés impossibles à couvrir, d’où les banques en faillite.
Donc du crédit, mais pourquoi faire ? pour spéculer, pour pratiquer l’usure généralisée ? Ce serait comme pousser sur une corde. L’économie serait noyée sous le papier.
Ben non, il faut des projets publiques qui créent de la valeur dans la société (pas des gens qui rebouchent les trous que d’autres ont creusé - ça c’est le bagne), des projet d’infrastructures, pas du jetable, y’en a marre de gaspiller.
Les objets s’accumulent ; c’est certe le drame des capitalistes (une bonne guerre ?), mais c’est la chance des peuples et cela justifie les service publiques.
Donc des grands projets.
Bien. Mais si c’est le privé qui les mènent, pourquoi ferait-il différement que ce qu’il a fait jusqu’à présent : usure, spéculation, contrats abusifs, salaires à la baisse, temps de travail en hausse ? Il ferait bien-sûr de même avec les même résultats que la flagrante réussite économique que l’on constate aujourd’hui.
Donc ce sont les états qui doivent contrôler les émissions de crédits, vérifier leur destination au services de projets communs choisis démocratiquement par la population.
- Grands projets + crédit productif publique = New Deal
- mini-projets + monopole privé du crédit = endettement des états = politique keynésienne néo-libérale.
A vous de choisir.
Les banquiers choisissent à l’unanimité dans notre intérêt de pouvoir continuer l’usure généralisée et les politiques ont choisit que cela était aussi notre intérêt.
Donc c’est pas à vous de choisir, à moins de .... se gouadelouper tous ensemble contre ces békés-banquiers mes chers frères de combats.