Des causes sociales aux émeutes ?
Qu’est ce que ça veut dire ? Ce ne serait donc pas les émeutiers qui auraient mis le feu aux bus, voitures etc, mais la société c’est à dire vous et moi ?
Arrêtons de chercher des coupables là où il ne sont pas !
Le coupable c’est celui qui tient l’allumette et celui qui répand l’essence et personne d’autre, sutrout pas la société.
En ce moment défilent 600 « idiot utiles » manipulés par l’extrême-gauche en mémoire des deux électrocutés qui, semble-t-il, ne savaient pas que dans un transfo, il y a du courant électrique.
Le troisième larron de l’opération, le survivant, défile avec eux alors que, multirécidiviste de la violence, il a a nouveau a répondre devant la justice (la mal nommée) de faits de violence pour lesquels il lui sera fait par les magistrats, soyez en certains, les gros yeux tout au plus, et encore, avec sursis.
Un stèle en l’honneur des deux électrocutés a même été érigée : pourquoi pas avec l’inscription « Mort pour la France » par-dessus le marché ?
Personne ne défile en l’honneur des deux innocents assassinés par les émeutiers Jean-Claude Irvoas à Epinay et Jean-Charles le Chenadec à Stains. Pour eux, aucune stèle n’est prévue. Juste l’oubli. Seul Villiers a eu le courage hier de déposer une gerbe en leur mémoire.
Un dernier point : la vraie pauvreté en France, elle n’est pas dans les banlieues sous perfusion permanente de subventions payées grassement par des contribuables qui n’en peuvent plus.
La vraie pauvreté, elle est dans le monde rural, chez les agriculteurs de montagne et les pêcheurs que notre classe politique laisse crever dans la misère. Eux n’incendient rien, ne tuent personne : il disparaisent dans l’indifférence. Mais, contrairement aux voyous de banlieues, eux, ils aiment la France.
Ceux qui respectent la France n’intéressent personne.