@Annie
Apprendre à lire. J’ai dit que c’est la métaphysique issue des anciens qui a disparue de la médecine au XVIII°, et non l’hystérie, qui d’ailleurs a plus profondément été étudiée par Charcot que par Freud.
@Captain
Les archaïsmes religieux dureront encore des siècles, voire peut-être toujours. Qu’il faille les combattre, dans le sens des dégradations qu’ils imposent (et pas seulement à femme), c’est évident. En occident, le problème est tout autre. Le progrès social est une nécessité, toutefois il doit être fondé sur des principes de prédispositions naturelles, et non des principes aveugles. Qu’une femme soit pilote de chasse, si elle a les compétences, banzaï, et si elles sont meilleures que les mecs, qu’elles remplacent tous les mecs au sein de l’armée de l’air. Jusque là je signe
Mais de grâce qu’on n’impose pas, au nom d’une parité, au nom d’une discrimination positive sexiste, au nom d’un quota, ou au nom de je ne sais quel délire, pour coller de la meuf là où un mec ferait mieux l’affaire (et inversement), pour entendre ensuite la meuf geindre au nom de la discrimination. Parce qu’au strict principe de la parité, les belles ne devront pas oublier d’aller dans les tranchées à la prochaine guerre.
Cette quête de l’égalité est parfaitement légitime dans un strict cadre de compétence. Le problème est que le processus est largement dévoyé dans une optique de rapport de force. La femme a gagné des droits en matière de divorce, par exemple, et c’est très bien, car l’ancienne législation était un archaïsme. Mais que voit-on ? Des droits parentaux scandaleusement favorable à la femme, un droit de visite aux gamins qui ne fait même pas 15% du temps pour le mec, un droit de garde qui échoit systématiquement à la femme en cas de litige.
Une quête légitime qui s’est transformée en un véritable rapport de force pour des changements législatifs discutables et arbitraires. Résultat ? Une cellule familiale totalement détériorée, explosée, à la dérive, une perte de repères généralisée, des mômes qui ne savent plus où ils en sont, par rapport à la génération précédente, où les familles étaient bien plus solides. Des relations hommes/femmes basées sur la suspicion, sur la prudence, sur l’éphémère. Si c’est ça le progrès, c’est sans moi, je reste à distance, je croque la pomme sans m’engager, et que la pomme reste où elle est.