merci chère Gül,
vous me faites rougir...
aux détracteurs de naulleau, qui n’ont que 2 mots à leur vocabulaire pour le descendre, voici un extrait de l’émission "pif paf", où celui-ci est pris à parti avec esprit, par 2 contradicteurs... et ceci sans proférer d’insulte ou d’injure, ni de grossièreté :
ce que je reproche à naulleau, c’est son élitisme, son manque de pédagogie et de capacité à faire partager son savoir.
il oublie que la littérature est un art, et que comme tous les autres disciplines artistiques, celui-ci tient de la subjectivité, donc par la même, échappe aux règles rationnelles : la notion du beau pouvant être différente d’une personne à l’autre.
il se coupe de la majorité des lecteurs, de ceux qui ne lisent qu’un livre par an, sur la plage...
tout le monde n’est pas dans l’état d’esprit de lire zola ou hugo, harold pinter, le clezio...
il devrait comprendre qu’il existe des écrivains plus légers, qui ne marqueront peut-être pas l’histoire de la littérature, mais qui auront su distraire notre esprit pendant quelques heures.
enfin j’ajouterai que , ma belle-mère, qui est une vieille dame de la campagne, de 79 ans, dialectophone alsacienne et germanophone, lisant surtout les magazines allemands, s’exprimant parfois avec difficulté en français, aime bien naulleau, parce qu’il parle sans grossièreté, articule correctement et distinctement ; de plus,elle lui trouve du bon sens face à la langue de bois de certains invités, étonnant, non ?