Justement la question de s’intégrer se pose : si vous passez votre temps à vous poser comme victime, vous vous excluez vous-même. Le patron de Airness, il est blanc ? Il a passé son temps à se plaindre ? NON, il s’est bougé le cul !!! Et il a réussi. Tout simplement parce qu’il a compris que la seule chose qui importe c’est le travail.
Vous voulez un autre scoop ? Les immigrés (parce c’en étaient) portugais, se sont-ils plainds ? Non, simples maçons, plus d’un est devenu millionnaire à la force du poignet, légalement, au courage, par le travail.
Les asiatiques, ils passent leur temps à se plaindre, à nous emmerder ? NON ils bossent, ils ne se trainent pas un boulet de victime qui les empêche d’avancer. Pauvres ou riches, ils s’en fichent, ils sont prêt à endurer l’enfer des ateliers clandestins pour pouvoir économiser sou par sou afin d’offrir un avenir à leurs enfants qui passent avant eux-même. Ils travaillent avec un courage que vous n’imaginez même pas. Ils font des choix et les assument. Ils apprenent à leurs enfant que la seule manière de s’en sortir, c’est l’éducation, le travail, de ne compter que sur soi pour réussir. Ils comptent sur leur solidarité et leur travail, ils ne demandent pas des aides, ils ne passent pas leur temps à se plaindre, ils s’assument comme des adultes.
La loi c’est la loi, les politiciens qui détournent des millions méritent que la justice leur tombe sur la gueule, mais ça n’est pas parce qu’ils commettent des délits que n’importe quel connard doit les imiter !!! C’est justement le contraire, il faut montrer que l’on est plus intelligent que ça. Vous vous posez comme une victime stupide et lache, un véritable kaliméro. Qu’est ce que vous voulez qu’on vous dise : « Pauvre chou, tu n’as pas de bol » ?
Bossez, instruisez vous, sortez de vos illusions sur le monde !!! Le monde est cruel, injuste et cynique, le seul moyen de s’en sortir, c’est de travailler, et si l’emploi n’existe pas, créez le, comme le patron de Airness, comme ces portugais qui ont créé leurs sociétés de construction immobilière. Ils n’avaient pas des millions, le RMI n’existait pas. Ils étaient courageux, réellement courageux et non pas de ces lâches qui attaquent en bande,violent et agressent ! Ils ont économisé, ils ont accepté de se priver, ils ne sont pas les esclaves, les gentils moutons de la société de consommation, de ces naifs qui croient que l’on existe parce que l’on consomme. Nous sommes ce que nous faisons. Vous pensez en victime, ne comptez pas sur moi pour vous plaindre !