Rien que le mot « mondialisation » me donne de l’urticaire.
La mondialisation est une oeuvre qui ne sert que les « grands » et les financiers qui déménagent leur argent là où bon leur semble. Là où ils deviennent plus riches. Là où ils peuvent contrôler les politiciens,ces façades de carton-pâte sirupeux et visqueux, lombrics rempants...
On attribue à la mondialisaton certaines réussites... Mais...Mais qui nous dit que les dernières décennies n’auraient pas produit ces « réussites » sans cette course effrénée ?
Si on commençait par l’humain avant de commencer par la banque ?
Mondialiser c’est aplanir. Aplanir c’est faire disparaître les différences et la richesse de ces différences chez les peuples.
Le citoyen veut vivre, en paix, et avec une certaine aisance.
L’échiquier mondial n’est qu’une oeuvre destructrice de psychopathes au pouvoir.
Les « plans » sur papier ressemblent aux armées de Hitler vers 1945 : illusoires et inutiles. Charcutrices et tristes.
Le troc de l’antiquité n’était pas parfait, mais au moins il était réaliste. Il est plus facile de voler une banque ou une banque de voler le citoyen quand tout est virtuel.
Se sauver avec la vache du voisin sur son dos n’est pas très aisé. Mais transiger sur l’électronique toutes les vaches du monde ne rend pas le citoyen heureux et satisfait.
40,000 enfants meurent chaque jour de faim.
La mondialisation n’a pas de regards pour eux. Elle n’apprend au citoyen que tricher est une façon de s’enrichir. D’où ces rejetons de fonctionnaires et de dirigeants pour qui « tricher » fait partie de la partie. Une sorte de mafia mondiale...
Alors il ne reste qu’à envoyer à la poubelle tous ceux qui prônent les « grands projets »...
Et pourquoi pas les fusiller ?
Qui donc a créé ce château de cartes qui s’effondre ?
Certainement pas le gardien de moutons ou l’habitant des bidonvilles.
Non, les « grands penseurs »...