Commentaire de Pie 3,14
sur L'étoile jaune sauce Lioret, ou Pourquoi je n'irai pas voir Welcome
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Avec un nom qui fleure bon la vieille France madame julie de Pardailhan s’en vient nous narrer sa dernière révolte venue des "poulaillers d’acajou des belles basses-cour à bijoux."
Elle reprend à son compte la mauvaise foi de Besson qui, à force d’amalgames a voulu faire croire que le réalisateur avait placé shoah et clandestins dans le même panier.
Le plus amusant est dans la conclusion de cet articulet qui dresse le portrait apocalyptique de ce que donnerait une politique moins dure envers les clandestins (la fin des libertés, la pauvreté généralisée, d’insurmontables tensions) et se termine par un appel à la modération ( apprenons à doser).
Cette réaction caricaturale de bourgeoisie idiote donne une furieuse envie d’aller voir le film.
Derniers commentaires
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17/03 15:55 - Dep
Attention, Ferrailleur, quelques-uns de ces messieurs sont insensibles à l’ironie : vous (...)
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16/03 19:45 - Dep
@traroth Ce mot, "sous-préfète", n’est pas anodin de la part de son auteur. Il (...)
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12/03 23:31 - JONAS
@ Maharadh : " Le succès de ce genre de théorie a été rendu possible par la (...)
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12/03 19:27 - foufouille
@ jonas lis plus haut tu me donne 50000, je me casse en bulgarie
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12/03 19:25 - foufouille
@ jonas tu inverse les choses l’etranger on peut pas connaitre on y vit pas nos elites (...)
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12/03 17:24 - JONAS
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