Je vous remercie Walden d’avoir correctement perçu mon message, ce qui est loin d’être le cas de l’auteur qui tient à garder sa couette été comme hiver de peur qu’une horde barbare et sanguinaire vienne s’y réchauffer.
Les problèmes que jamais n’évoquent les gardiens barbelés de la France sont de deux types, d’une part le retour qu’ils considèrent comme un voyage touristique, et d’autre part l’avenir de la planète qui jettera indubitablement des populations sur les routes.
Pour le premier, la totale méconnaissance de la situation rend le langage bravache et distille quelques idées que ne réfuteraient pas la plupart des plus viles personnes du siècle passé.
Pour le second, puisqu’il faut trier, séparer, comptabiliser, il serait aimable aux régulationnistes de donner les critères de choix, les quantités et expliquer quoi faire des autres.
Mais bien sûr nous n’en sommes pas là, suivant 36/39, les réfugiés espagnols ont montré que vivre en camps de concentration était possible, alors allons-y, c’est la fète au village.
@ ferailleur
L’histoire est une science qui varie d’un jour à l’autre, et chaque historien y voit son reflet, désolé de décevoir votre horizon, mais les réalités sont et rien de vos dires ne peuvent y changer.
Affirmer me disait un vieux prof de fac c’est connaître, hors n’ayant gardé aucun troupeau et n"ayant partagé aucune miche avec vous, je vous trouve bien assuré à décrire mes bagages, douanier, sans doute, ou devin.
Quant à mon aïeul, vos croyance vous aveuglent, selon son bon plaisir et mon innébranlable athéisme, il n’est nulle part, son paradis est votre tête, alors bouche cousue, vos inconséquences vous font dire des bétises.
Aussi, lorsque vous rencontrerez une échelle, évitez de passer en dessous, paraît-il que certains les utiliseraient comme balance à savoir qui est plus miséreux, d’autres y compteraient les grains de riz par souci d’équité.