par Michael Jordan Manson (MJM) (IP:xxx.x2.25.240) le 13 mars 2009 à 19H27
Le problème est moins la question de l’argent en soi que celle des principes et des privilèges acquis par une certaine classe de population. Un succès commercial vous fait accorder un certain nombre de droits venus de nulle part, d’on ne sait où, marqués dans aucun code de loi ? ? Il est évident que cela crée alors ensuite un décalage entre le peuple et les artistes qui ne se comprennent plus. Donc l’art meurt au final. Et les exploités sont toujours les mêmes, ceux d’en bas.
Il ne faut pas mélanger les combats
Heureusement que vous le dites vous-même, en fin de texte : "il ne faut pas mélanger les combats" ; or, c’est ce que vous faites, tout au long de votre intervention.
Un "succès commercial" n’accorde que les droits qui en découlent ; à savoir les revenus légitimes des ventes de disques, de droits d’auteur, de concerts, etc... Il y faudrait une loi spéciale ?
Et d’en déduire du "décalage" entre le peuple et les artistes !!
Pfffff....
Quel décalage ? Celui des moyens ? Il faudrait donc que l’artiste soit condamné à ne vivre que du smic, toute sa vie, même s’il a des "succès commerciaux", pour qu’il n’y ait pas de "décalage avec le puple" ?
Du grand n’importe quoi !
Et, au final, "l’art meurt" : là, il y a franchement de quoi rigoler !
L’art est mort, du succès des grands artistes ?
Dites plutôt que certains grands artistes sont morts faute d’avoir pu, de leur vivant, renontrer leur public ; ça, oui....
Et "les exploités sont toujours les mêmes " : quelle démagogie !
Quels exploités ?
Qui oblige qui que ce soit à acheter un CD, un livre, à aller voir un film, une pièce de thâtre, un concert ?
Ca ne vous plait pas ; vous n’y allez pas, vous n’achetez pas, point barre. Où est "l’’exploitation" ??
Il faut arrêter de faire des amalgames, et de raconter n’importe quoi.
Comme vous le dites vous-même ; apprenez à ne pas mélanger les combats...