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Commentaire de l’Omnivore Sobriquet

sur Sarko-Sego : le tandem de la décadence...


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l'Omnivore Sobriquet l’Omnivore Sobriquet 28 octobre 2006 13:52

Boaf, Tout bien relu ça colle ça va. Zêtes un peu trop scolaire, et prisonnier du thèse-antithèse-conclusion, qui n’est qu’un shéma parmi d’autres, binaire. C’est bien sympotmatique ça, opposer deux contraires, alors qu’on peut faire des combinaisons à trois, belle comme les champs. Le chiffre deux c’est bon pour trancher, choisir le dos au mur. Avec le trois ça va tout de suite beucoup mieux, on peut vivre avec on peut respirer.

D’ailleurs je n’aime guère ce mode de scrutin présidentiel actuel (sans parler de la muflerie des ’500 signatures’, dont j’espère vous percevez les méfaits. C’est bizarre, personne n’en parle dans l’Agorabox, à ce qui me semble...) ; moi j’intercalerais un tour de scrutin intermédiaire entre les deux : le premier tour sélectionnerait non pas DEUX mais TROIS candidats, ce qui serait infiniment plus drôle, au niveau des propositions politiques de l’entre deux tour suivant, et des simples possibilités politiques... (au lieu d’une course à l’entonoir, au binaire bleus contre rouges, méchants contre gentils etc.) comme d’ailleurs seraient améliorées les propositions politiciennes d’avant le premier tour. (quand on lit toutes ces simulations ces projections, ’à deux tours’, alors qu’avec mon système les plus mesquines les plus idiotes ou contre nature seraient de fait impossibles : voyez le trot actuel au Parti Socialiste, à trois justement (mais le choix final est obligatoire à partir de ces trois, il n’y a pas de possibilité ultime de choix entre les deux meilleurs : c’est direct de trois à un, et non de trois à deux puis à un comme je le propose ici : ce n’est pas tt à fait le même cas) : personne n’écrit ces flatulences classiques : « si Fabius est présent ’au second tour’ (classique) il sera le meilleur candidat contre Ségolène.. », types de considérations qui polluent pourtant toutes nos campagnes présidentielles ’actuelles’ (d’avant que je sois président donc,) ni autres « puisqu’il faudra de toutes manières trancher entre DSK et Ségolène... » ni autres Guy Luxeries déposées avec force poncifs et rictus ’de gouvernement’, toujours toujours accompagnées de ce papier hygiénique qu’est la fameuse « phrase de Churchill » (sur le ’moins pire’ des gouvernements) comme si la messe était dite, alors que, justement elle n’est pas dite. C’est nous qui choize.) Donc le premier tour aboutirait à trois et non pas deux candidats, puis on aurait un vote, où la majorité absolue serait une possibilité très réelle, qui si personne ne fait 50% réduirait le choix final à deux candidats, les deux ’meilleurs’. Puis on aurait enfin cet idiot et américain ’deuxième tour’ (en troisième dans ce cas), où le chiffre deux montre sa réelle vertu : trancher. Ca fait trois votes, espacés de deux semaines chacun, le pied, le panard électoral, une fois tous les sept ans si possible (autre débat, déjà évoqué qque part et aussi à l’avenir ailleurs qu’en cul de parenthèse.) Le chiffre deux, qui tranche décision uniquement, ’to strike a decision’ comme ils disent, une fois l’échec consommé, c’est à dire le choix politique positif non obtenu, et donc hélàs le choix réduit à deux. (alors qu’avec trois candidats, la possibilité d’une victoire directe à la majorité d’un des trois, à la majorité absolue, ’par acclamation’ en quelque sorte, en tout cas par victoire ’positive’, est très réelle... un ’danger’ pour les états-majors... mais je rêve, hein , je délire. Y zy ont pas pensé en Allemagne y l’ont pas fait au Danemark ni à athènes alors ’je délire’, bien sûr...)

Mais où en néteige que dizois-je ? Ah oui, que le texte ci-dessus que vous espérez imcompréhensible va en fait très bien, l’est fonctionnel, je viens de vérifier à froid à l’instant : logique clair, presque concis. Jamais vraiment parfait mais ce n’est pas un rendu, c’est une remarque sensée qui en appelle d’autres, heureusement. Quelques agoraidillons, sur des points en marge justement, mais sur le sujet j’ai plutôt l’impression de répêter marteler consciencieusement.

Enfin, certes, bon des fois il manque un mot ça ne facilite guère... mais pas dans ce texte-ci, sauf -uniquement - sur la phrase « Sans parler de l’impression sidéterminante croyez vous. », où c’est vrai c’est vrai ce n’est pas clair du tout, mal écrit s’cusez : j’aurais dû mettre « Sans parler de l’impression sidéterminante, croyez vous. » (ça causait ’vos certitudes éronnées quant à nos conditionnements étoile mauve et tâche blanche.’) A part ça je peux le recoller ce texte, à peu près inchangé, encore une fois ci dessous si vouvoulez, tout me va : ça cause, ça palpe, ça explique au gens, bien, il suffit de lire pour de vrai. Ce n’est pas parce que c’est surprenant que ça ne veut rien dire osscour.


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