Je vous ai bien lu.
Je suis la seule, abordant cet évènement, à avoir évoqué le sort de la victime.
A ce sujet, vous avez posé trois questions rhétoriques dans votre article, oui.
Je suis la seule a avoir évoqué le devenir des enfants victimes de violences physiques et psychologiques et le coût (en termes de conséquences) pour la société.
Euh... le coût, c’est moi qui en ai parlé, vous vous êtes contentée de reprendre mon commentaire là dessus. Votre évocation personnelle sur le devenir des enfants victimes de violence se résume à votre phrase péremptoire sur leur toxicité future. Affirmation à laquelle vous n’apportez aucun développement.
Rien ne vous empêche, vous Nadja, d’écrire un article sur le sort des victimes et leur prise en charge.
Ici, je me suis mal faite comprendre : je me contente de remarquer que la conclusion de votre article est en contradiction avec vos commentaires dans le débat qui suit.
Vous vous en défendez en me renvoyant la balle. Je conçois qu’il soit tentant de vous décharger de la sorte sur autrui mais ce n’est pas moi qui affirme avoir été choquée que le sujet ne soit pas abordé à propos de ce fait divers.
Si cette histoire là a été médiatisée, c’est uniquement en raison de la prise de position et des déclarations de certains éclésiastiques sur l’avortement. Je trouve donc logique que le débat porte là dessus.
On peut regretter que ce drame ne donne pas lieu à une prise de conscience sur le sort des victimes. Pour ma part, je déplore plutôt qu’un problème aussi grave et répandu intéresse si peu de monde en dehors de quelques évènements médiatisés d’où ressort souvent une instrumentalisation de la douleur des victimes par les politiques (ce qui n’est pas le cas ici). Je témoigne donc assez régulièrement à ce sujet, quand je le juge opportun. C’est à dire quand j’ai quelque chose à faire savoir et que je m’en sens le courage.
PS : Mon pseudo est bien Naja, et non Nadja.