Je ne cherche rien ici. Je fais part de ma perplexité à la lecture de votre article et de vos commentaires, c’est tout.
Oui, je me suis trouvée quelque peu agacée en constatant que vous reprochiez à tous de ne pas avoir aborder les questions que vous ne souhaitez pas creuser non plus. D’où le commentaire que vous jugez chargé d’une agressivité déplacée.
Finalement, après m’avoir renvoyé la responsabilité de développer moi-même, après avoir affirmé avoir évoqué le sort des enfants maltraités quand vous n’avez fait que reprendre un commentaire et poser un jugement péremptoire... voilà que vous m’expliquez que n’étant pas psy, vous n’aviez en fait pas la prétention d’en dire plus que "j’ai été choquée de ce silence" avant de repartir dans un débat sur la condition des femmes et les religions, lequel ignore précisément l’objet de votre indignation. Soit.
Vous ne trouvez pas l’échange constructif. Je vous avouerai que moi non plus.
Je ne crois pas que je vais le poursuivre plus avant d’ailleurs. En effet, je ne tiens pas à répondre à vos questionnements et tentatives d’interprétation sur mes souffrances, sentiments et attentes. Ma personne n’est pas le sujet de ce débat et je désapprouve l’usage de cette rhétorique qui consiste à renvoyer l’autre à son intimité.
Peut-être nous comprendrons nous mieux dans un échange ultérieur.