Le ’libéral’ ne suffit pas. Certes il faut libérer l’entreprise, le travail, c’est un besoin vital et une urgence.

Les inégalités sociales augmentent ?? pas vraiment, seule une petite niche de très riches s’envole en ce moment. En fait le pays, le reste (90% ?, 85 % ?), s’uniformise. Un paysan (pêcheur) de l’Ile de Ré va se retrouver assujéti à l’impôt sur ’la fortune’ (et non plus sur ’la grande fortune’, vous allez voir tout le sel de la nuance) parce que les prix de l’immobilier sur l’Ile de Ré s’envolent, alors voilà sa petite masure vaut 4 Mercédès. Pleins de gens se retouvent imposés ’sur la fortune’ sans être ’au dessus’ du lot vraiment, une 16 soupapes au lieu d’une carte orange 5 zones pour madame, un crédit révolving encore valide au lieu d’être ’gelé pour le moment’, ça fait untéléphone portable dernier cri au lieu de la ’grenade’ qu’on ’se traine’ depuis 3 ans (hé ! on s’réveille ! est-elle si importante, la différence ? ’l’humiliation’ ?, est-ce, vraiment, si terrible de ne pas être le roi de la cour de récéation avec un écran couleur ?? OH !! y-a-til un socialiste véritable dans la salle ??), un appart. acheté en station de vacances plutôt qu’un abonnement Pierre&Vacances, 3 télés, j’sais pas moi, 3 fenêtres (comme à la grande époque..), et voilà c’est tout : les ’zinégalités sociales’ de la France d’aujourd’hui. Je n’exagère à peine, une fois avoir complêté le tableau avec les 5 % ou 8% ’d’en bas’, je veux dire d’en desous plutôt, qui eux aussi ’se détachent’, enrôlés dans la mafia de Bucarest, de Sofia, d’Istenbul ou du Blanc Mesnil, qui travaille sur le trotoir de l’empire des irresponsables, et les enragés de la Villageoise ou du crack. Au milieu, je vous assure, ça s’uniformise, et il y a du bon dans cette uniformisation, et il y a du moins bon.

Parce que certaines égalisations ne sont pas bonnes : qu’un smicard dans les fait touche 100 euros de plus qu’un rmiste un peu fûté comme on l’est tous n’est pas une bonne chose : qu’un BAC + 5 bien bosseur bien placé depuis 10 ou 15 ans ne gagne toujours pas de quoi partir DEUX MOIS avec sa famille en ’grand voyage’, ou alors s’il le fait gràce à un an d’économie (le truc normal) et bien il est sûr de perdre emploi maison et ’respectabilité’ à son retour (voire mme son ’employabilité’), que le maçon - un noble métier certes -, soit opulent par rapport à un prof, bref, ce n’est pas dans bien des cas ’plus c’est égal mieux c’est’, c’est parfois le contriare, et en France 2007 c’est beaucoup trop souvent le cas : il arrive des fois où le terrassement tue, grippe tout mouvement vital, celui qui va de l’excès à la pénurie.

Sans parler de l’égalité imposée entre un mineur délinquant multirécidiviste (60 fois parfois !) et un mineur qui déconne juvénil un coup normal. De la mixité imposée entre les deux, néfaste à l’ensemble.

Bref réduire les charges, imbéciles depuis 50 ans de démagogie environ, démagogie qui cache une vraie main-mise des richesses. Il le faut. Plus personne ne crée une entreprise, en 2006 comme en 2002, autant se tirer une balle dans le genoux. Merci ’la droite’. Merci ’la gauche’. Seuls les privilégiés familiaux des lignes de crédits peuvent jouer à l’entrepreneur : on est retourné à 1835. Comparez avec 1951 par exemple, tout le monde pouvait se lancer et y pensait naturellement, alors qu’aujourd’hui embaucher quelqu’un c’est de la folie furieuse : pour commencer c’est une discrimination, toute embauche est une discrimination : il faudrait donc faire plancher un cabinet d’avocat pour sa si l’embauche envisagée, la discrimination donc, ne viole pas une de ces multiples lois de légalistes (que dis-je, de légalâtres !) terrifiés de perdre prise sur le troupeau peu franmaçon, et qui dégaine de la loi effet d’annonce dans la panique et la vengeance y’sront-obligés-de-m’inviter-sur-le-plateau-cette-fois... C’est de la gouvernance Philippe Labro - Claude Chirac. Ensuite, embaucher cet à dire envisager une activité où on aurait besoin d’être aidé (sinon on le ferait soi-même, sans embaucher qui que ce soit rappelons le), c’est se mettre un bonnet d’âne sur la tête, tête de vache à lait publique entre quatre fers ultra surexploitée, que ça en devient du masochisme exhibitioniste. Bien sûr qu’un employé ce n’est pas comme une machine à saucisse, mais la flexibilité est un besoin naturel.

Tout ceci est peut-être d’autres points sont typiquement de droite, et oui cher monsieur vazy sarko, ça devient plus qu’urgent, l’alerte est déjà derrière nous. Que certains riches vraiment riches en profitent au passage n’est pas un crime, mais pas un but non plus. Le but est que les gens s’enrichissent, et que les humains puissent être agiles de leurs dix doigts, car un cerveau entre deux mains c’est bien ce qui nous caractérise en temps qu’espèce animale (’l’omnivore des savanes’ comme ils disent, oubliant Dieu), car la vie réclame du mouvement, car les hommes aiment l’action, et comptent sur le mérite (concept chrétien) pour vivre ensemble, joliment et bien. Tous égaux et tous différents, le but est de vivre pleinement, libres et responsables, autres concepts chrétiens. Par de s’autoflicquer l’oeil parano sous le grand oeil parano du shamane gagnant.

Mais d’autre part, non cher moonsieur, le libéralISME ne suffira pas. Il ne vois rien dans la personne ’insolvable’, par exemple, rien. Les frontières qui créent les responsabilités, nuisent au libéralise idéal..., celui où le consomateur idéal compare prix et qualités de la tomate à Shangaï, à Rabat, à Rotterdam et à trifuoullit-les-crédits LCL, avant de faire son bon choix idéal faisant ainsi progresser le smilblick libéral et donc tout. Les hommes ne sont pas des consommateurs ideaux, c’est un peu daté Rousseau cette baderne, les réalités sont un peu plus épaisses que ça. C’est un peu court comme vision politique, comme base de civilisation.

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