@ TOUS :

Je crois que dans ce film, les problèmes, ne se limitent pas à l’immigration… !

Son titre " La jupe " en est le fondement. En fait, il est dans le droit fil de l’Association " Ni Putes, ni Soumises ".

Un cri de détresse des femmes qui désirent exister en tant que telles, en tant qu’être humain à part entière, et non pas comme simples pondeuses et d’objet de plaisir.

Il est vrai que la religion Musulmane, comme la religion Chrétienne en d’autres temps, qui leur interdisait le port du pantalon, la Musulmane, leur impose une Chape de plomb, elles sont donc diamétralement opposées.

Ces religions patriarcales sont à l’origine d’une peur de la puissance créatrice féminine, car seule ou en communauté, la femme dispose du droit de vie ou de mort sur l’être qu’elle met au monde.

En ce sens le rôle exemplaire d’Adjani est remarquable, elle se révolte contre le fait d’être traité de pute pour le simple fait de porter une jupe, qui n’est même pas une minijupe.

Le mépris de la femme et pour l’homme, est le sommet de la lâcheté !

D’autant que le rôle aurait pu être tenu par un homme blanc, et pour certains, ils n’auraient peut-être pas été aussi brillants que l’actrice, dans les mêmes circonstances.

Je vais me répéter : Ce n’est pas en mettant des lions dans la cage aux moutons, que l’on en fait des moutons… ! Il y a une période de dressage, quand les familles n’ont pas été capables de le faire dès l’enfance.

Il faudrait en revenir à des écoles disciplinaires, comme l’école Courbet qui portait bien son nom et qui était animée par des militaires.

Ceux qui ne plient pas, on devrait les renvoyer avec leurs parents, de la " jungle " dont ils sont issus, sans distinction de races, de couleurs ou de religions.

Pour les nôtres, des camps disciplinaires pourraient être mis en place, c’est notre problème ! Car, pas question de parler de " Camps ", pour les Français d’origines étrangères ou immigrés, donc, je ne vois qu’une solution le retour chez eux.

Bonne journée.