Bonjour,
Beaucoup de vrai dans l’article à ceci près que les dirigeants considèrent de bonne foi qu’ils sont les "moteurs" de la production... Je les renvoie évidement à la définition d’un moteur pour qu’ils s’aperçoivent qu’il y a plus moteur qu’eux... bien moins bien rémunéré... et beaucoup plus fatigué (7 ans d’espérance de vie en moins, est ce pris en compte dans le calcul des cotisation et/ou des retraites ?)
J’en profite pour placer ma sempiternelle ritournelle....
"Prolétaire" signifie étymologiquement :
"qui ne laisse au pays ou à la nation comme richesse que ses enfants (prol-ifique etc...), donc qui consomme tout ce qu’il prosuit de son vivant, sauf ses enfants, main d’oeuvre amener à le relayer....
Tout fonctionne scomme si on avait incorporé, assimilé inconsciemment cette définition :
les employés accomplissant les tâches dites les moins qualifiées ne peuvent accumuler aucun patrimoine ou capital, et consomment tout ce qu’ils gagnent... Un ouvrier qui a construit une route ou un édifice qui tiendra debout et en bon état 300 ans ne laisserait il comme richesse que ses enfants... ?comme le dit la définition... ? Les faits le confirment par la petitesse de son salaire.... S’agirait il d’une étymologie performative, comment s’en libérer... permettre de requalifier les employés archi sous payés et méprisés sous prétexte qu’ils seraient interchangeables ce qui les rendraient pléthoriques... et inutiles...
Résultat :
Une pensée économique vénérée alors que basée sur un concept profondément mensongé...
Cordialement...
Marc P