Justes remarques qui valaient un article.
Et en tant que gestionnaire, et surtout pas financier, j’aimerai ajouter quelques infos découvertes grâce à cette géniale crise qui permet de lever un coté du voile d’hypocrisie.
MAIS si je me trompe, je compte sur toute personne lisant mes infos pour les rectifier ou les compléter.
D’abord, largons le problème de Monsieur Strauss-Kahn.
En effet, il semble qu’il veuille que le FMI soit l’organisme de contrôle de la finance et des marchés. Manque de chance, les US ont l’air de vouloir créer leur propre organisme.
Il serait donc, pour moi, en campagne électorale auprés des des pays du G20 et noircit volontairement le tableau (il n’a pas beaucoup de mal de parler de guerres, car elles vont arriver, mais VOUS remarquerez qu’il est le seul). Bref, lutte de pouvoir.
Pour les bourses. En effet, la bourse et tout le système spéculateur périphérique (banque, fonds, paradis) n’est pour moi qu’un outil.
La preuve, ils sont salariés.
Leur fonctionnement parait simple : se faire de l’argent sur tout ce qui bouge. Et, notamment, lorsque les US annonce qu’ils vont nationaliser 1000 milliards de pertes, ça fait déjà 1000 milliards de gagnés, et ça répond à leur logique.
Un truc que vous auriez pu citer : la bourse marche à l’anticipation et au cours terme.
Ainsi, les bourses anglo-saxonnes sont passées maître dans le lancement de fausses nouvelles...
Les agences de notation sont payées par les sociétés et organismes financiers qu’elles notent....
Les "analystes" sont comme la météo, ils se trompent 9 fois sur 10, car ils n’ont pas de boules de cristal.
Alors trouver une quelconque justification dans l’existence de cette "industrie", perso, moi, non.