C’est assez différent en science.
On a l’impression que vous racontez la suite du "collège unique", ce lieu ou les ado intellectuellement bien outillés commencentà s’ennuyer sec.
Je suisu un peu étonné aussi car, bien que scientifique de science dure, j’essaye de lire des Bernard Stiegler, des Nassim Taleb, des Mona Chollet, des Jullien, Dupuis, De Kervasdoué, S. Beaud, Ph. Desbordes (Mon enfant n’est pas un coeur de cible), Simondon, Gimpel ; Leroi Gourhan, Hobswbawm, Braudel.
Je vous passe les inévitables Foucauld et Deleuze, Furet, et autres Cyrulnik ...que je ne me tape pas forcément...
J’auris cru que la vie d’un étudiant en littérature consistait à traquer ses perles à lui dans un itinéraire comme celui-là, à sa façon (moins anthropo sociologique, mais que diable, avec des James Joyce, des Proust uo Kafka, des Cortazar, il y a de quoi faire), et que cela pouvait fournir une forme de satisfaction (de "philia"), qui s’esercerait dans je ne sais quels cercles que vous ne vecûtes donc point.
Il est vrai que quand j’entends certaines émissions d’heures creuses (15-16) sur France Culture, je vois pas mal de remplissage, un peu comme celui des psychanalystes qui furent assez fort dans le genre. Et persisent et signent bcp en France.
Les analyses n’ont jamais été aussi importantes que dans un monde qui vire de support de mémoire grâce à la technique, or ce que vous décrivez est une communauté contente de se faire laver le cerveau. Ou est le hic ? des "ilots de pertes dans des océans de profits" ou le contraire ?
A vous Cognacq jay