Ce n’est pas un choix qui s’inscrit dans le cadre religieux, mais dans celui du social.
En France, comme dans d’autres pays, la femme a le choix !
Certaines choisissent librement leur foi et aucune contrainte ne leur est imposée.
Si vous parlez des cas qui s’inscrivent dans le cadre d’Etats totalitaires, tout type de choix est plus que restreint ; mais pas seulement pour les régimes faisant référence à la religion musulmane.
Ensuite, nous pourrions aborder le libre arbitre qui dépend, bien entendu, de la culture qui nous est donné. Lorsque nous sommes jeunes, musulman ou non, notre construction se fait aussi avec des impositions parentales, particulièrement sur l’acquisition des valeurs.
Nous avons tendance à associer les maux de la liberté à une religion alors que seul le pouvoir en place influence cette liberté. L’Irak (d’avant guerre) était un pays où chacun faisait le choix de son culte et pouvait le pratiquer librement ; pourtant c’est un pays à forte majorité musulmane.
Il faut reconnaître que lorsque la religion fait partie intégrante du pouvoir, les populations sont soumises au dictat de ladite religion (ce qui est aussi une dictature de pouvoir) ; notre propre histoire nous l’a montrée. Mais il ne faut pas se tromper de cible ; c’est le pouvoir contre lequel il faut se battre ; car même sans cet amalgame avec la religion, une dictature reste une dictature !
Pourquoi cela ? Car nous voyons autour de nous, chaque jour, des êtres qui ont la foi mais ne cherchent pas à nous l’imposer.