"Vous voulez faire de l’horlogerie avec un bêche, libre à vous !"
Oui justement j’appelle ça un cadran solaire terrestre.
J’avoue ne pas avoir votre culture, et je m’exprime à partir de ma sensibilité.
Est-ce que cela en fait une phraséophobie ou verbumphobie (clin d’oeil à L’Enfoiré) ?
De plus, Mr Villach, lorsque le lis et relis votre article ainsi que le supposé commentaire où vous délivreriez la définition du mot "intericonicité", pour le premier j’y lis un ensemble de concepts, et sur le second non pas une définition mais ce que ce n’est pas par analogie avec ce qui y ressemble.
Mais peut-être ne suis-je pas assez intelligent (je vous dis ça en toute sincérité).
"Que vous enragiez de avoir pas eu connaissance de ces subtilités plus tôt,..."
Je n’enrage pas, je suis passionné par les mots à ma manière. Et je cherche à vous faire partager mes ressentis concernant celui-ci en particulier.
Des mots scientifiques seront inventés... je n’en doute pas un instant.
Mais je préfèrerais un monde qui laisse aux poètes ce soin là.
Est-ce qu’on demande aux poètes d’inventer des lois mathématiques ?
On aurait peut-être dû. Peut-être est-ce la plus grande erreur de l’égo après tout.
Car le langage, n’est-ce pas de l’énergie ?
Ou à l’inverse je ne lis plus d’histoires du tout. Car le grisonnant quotidien n’appartient qu’à une culture trop organisée. Et le monde n’est pas non plus un asile pour les âmes raisonnables.
Je lis ce qui invente le langage.
La beauté n’est pas une réalité ni un songe.
C’est la consistance de l’éther de nos rêves.
Je cherche le symbole enfoui et codé
qui ne raconte que ce que je ressens avec ardeur,
dans une blague ou une notice d’utilisation.
Mille dictionnaires pour dire combien je t’aime,
là exactement quand je m’élève.
Lisez, apprenez, mais faites l’amour ou plus exactement vivez l’amour qui pré-existe à toute perception.
La transformation est réelle dans cet espace-temps.
La communication est énergie.
Il ne faut pas comprendre mais ressentir.
Bien cordialement.