Val a tranché, d’autant plus que sa décision a été facilitée par le refus de Siné de s’expliquer, faisant implicitement une confirmation du caractère fortement diffamatoire de ses propos.
C’est quoi, cette interprétation ?
Siné a refusé de se justifier, parce qu’il n’avait pas à le faire ; ses propos n’avaient rien d’antisémite ; il n’y avait rien à expliquer, ni à justifier, sauf devant un tribunal de l’inquisition ; position dans laquelle s’est mis Val.
Siné a donc eu tout à fait raison de l’envoyer ch....
Quant au "caractère fortement diffamatoire des propos", une fois de plus, c’est VOTRE interprétation ; pas celle de la justice, ni des gens de bonne foi ; n’essayez pas de nous faire avaler VOS couleuvres...
Je rappelle, d’ailleurs, à propos, que la phrase incriminée, et qui n’avait absolument rien d’antisémite, ni de diffamatoire, comme l’ont reconnu tous les gens de bonne foi, ET le tribunal, concernait.... qui donc ?
Eh oui, le fils Sarkozy !
Tiens, tiens .....
Le petit inquisiteur Val s’est donc mis en quête, sous couvert de lutte contre l’antisémitisme (ridiculement déplacée en l’occasion ; la justice l’a jugé), de fustiger le crime de lèse-majesté, en procédant, comme tout bon petit despote, à un licenciement abusif.
Bonne façon de courtisan, qui trouve son heureux épilogue quelques semaines plus tard ; : le prince sait reconnaitre ses serviteurs zélés...
Et, si ce triste individu, ce sinistre connard de Val (je peux me permettre : il a traité les internautes de bande de sales cons) avait encore deux sous d’honneur, il lui serait tout à fait loisible de refuser le poste, conservant ainsi son autonomie de journaliste (on sait bien que le directeur de France-Inter, nommé, donc, par le prince, sera sous surveillance, chargé de diffuser la voix de son maître).
On parie qu’il ne le fera pas, et acceptera la charge confiée, reniant ainsi toutes les convictions qui, parait-il, furent les siennes, pour aller à la gamelle, et accrocher sa petite médaille ?
On parie ?