Il faut aussi lutter contre ces discours, qui ont lieu aussi sur le sujet des « bus brulés », qui consistent à attiser la haine répressive qui ne mène à rien et qui ne sert juste qu’à cacher le désintérét qu’éprouvent leurs auteurs pour ces problèmes et évitent par là de réfléchir à la genèse de ces situations, et il n’y a pas que le problème de la violence, qui lui est spectaculaire, comme déjà dit. Celui qui à les yeux ouverts voit plus loin que les épouvantails que l’on agite devant lui.
Il n’est pas à cacher qu’il faille avoir des méthodes musclées,pas avec des matraques, mais (par ex) de vrais séjours de rupture du millieu éfectués dans des lieux qui ne permettent aucuns repères avec le quotidien de ces jeunes ou moins jeunes qui en sont arrivés à des actes grâves. Ca à déjà été fait et ça marche mais encore faut-il vraiment vouloir prendre le problème à bras le corps et ne pas l’utiliser à des fins obscures. Et certainement qu’ils y à d’autres solutions.
La majeure parties des jeunes de cités veulent s’en sortir et c’est faute de pouvoir qu’ils s’énervent, mais pour le savoir il faut les fréquenter.
Il est intolérable que des gens qui derrière leur claviers vomissent une haine, tente de monopoliser le discours et par là même discrédite toute action ou velléïté d’agir dans l’intérét de tous, alors que leur propos ne peuvent aboutir qu’à une guerre ouverte avec cette fange de la population, qui rapellons le, reste une minorité dans les problèmes de la jeunesse. Ces discours sont stériles et non avenues, ils sont aussi irresponsables que les gauchos qu’ils critiquent et n’apportent absolument rien. De plus c’est trés facile et ça mange pas de pain.
L’initiative Agoravox est des plus intéressante pour enfin, peut-être, mettre des personnes directement en relation et élargir les esprits afin de trouver et d’exiger de vrais solutions, si ça ne devient qu’un crachoir, l’expérience sera vite oubliée, monopolisée par le ronron des « vat-à-la-matraque » sans perspective ou seulement celle de décharger ègoïstement leur dégout, dégout qui ne leur appartient pas exclusivement, on peut avoir le dégout des actes « barbares » et avoir une réelle intention d’agir sans attendre les sirènes de polices, qui d’ailleurs n’arriveront jamais, soyez en sur, et je comprend les policiers qu’on envoi au casse-pipe comme les fantassins de la république d’une guerre sociale dont-ils connaissent trés bien les tenants et aboutissants et à laquelle ils rechignerons d’aller. Ce sont des gens comme vous et moi, pas des robocops.
Il ne faut certes pas se voiler la face, mais c’est valable pour tous.
je remercie l’auteur de l’article pour le support d’expression qu’il nous procure.