Pour ceux qui n’auraient pas suivi les épisodes précédents, si Paulo m’appelle castorama, c’est pour faire un super-jeu de mots, et s’il dit que j’ai don de double voyance, c’est parce que j’ai osé le contredire sur l’analyse qu’il avait faite de la photo de Rachida Dati, ici même...
« Mme Dati joue ici évidemment de façon infantile à celle qui a été surprise à son insu et/ou contre son gré. Ce leurre de l’information donnée qu’elle déguise en information extorquée fait toujours son effet auprès des naïfs » déclarait Villach...
ce à quoi je lui ai répondu qu’en fait de photo déguisée en photo volée, il me semblait plutôt qu’il s’agissait d’un shoot en plein meeting, comme en témoignaient les personnages, certes un peu flous et au demeurant tous assis, mais néanmoins visibles, que l’on pouvait voir à gauche, à droite et derrière notre ministre.
Depuis, Villach n’a toujours pas changé ses verres de lunettes et préfère, avec moi comme avec beaucoup d’autres, se la jouer dédaigneux plutôt que de reconnaître que ses articles ne sont jamais que le reflet de son abyssale jalousie envers les belles gens.
Il le fait d’ailleurs toujours avec la même technique : « relisez untel », « vous ne comprenez rien », « vous faites partie de la masse puante et servile et manipulable à l’envi », témoignant par là qu’il manie mieux la langue que Morice, mais qu’il souffre de la même affection, la certitude d’être, toujours et en tous lieux, le meilleur, et qu’à ce titre, qui ne s’approprie sa pensée ne saurait qu’être digne d’une condescendance insultante.